
Luttons contre l’arrivée d’Amazon à Longvic
Organisation d’une conférence de presse devant le site d’implantation de la future agence de livraison dite « du dernier kilomètre » d’Amazon à Longvic.
En finir avec les patrons et leur monde
L’union locale de la CNT regroupe tous.tes les salarié.e.s, chomeur.euse, précaires, de toutes branches, industries, métiers, qui veulent lutter de manières actives contre l’exploitation capitaliste du patronat et de leurs allié.e.s. Se référant à l’anarcho-syndicalisme et au syndicalisme révolutionnaire, la CNT d’aujourd’hui oscille entre la reconnaissance d’un projet communiste libertaire et le refus de toute étiquette spécifiquement idéologique : pas d’organisation politique, de quelque obédience qu’elle soit, comme tutrice de l’organisation syndicale. Une logique d’adhésion qui est fondée sur l’appartenance de classe. Le mode de fonctionnement de la CNT correspond à la manière dont nous pensons que la société dans son ensemble peut être gérée. Décisions par la base, mandats impératifs, rotation des tâches… Ce n’est pas toujours facile, mais ça s’apprend par la pratique.
Les prises de décisions sont effectuées au niveau des syndicats, qui constituent donc la base décisionnelle de la CNT. La CNT est conçue comme une confédération libre de syndicats. Le principe fondamental est le même au niveau local que dans la perspective révolutionnaire : ce sont les prolétaires qui travaillent à leur émancipation, ce sont les travailleur-euses concerné-es qui prennent les décisions les touchant, tant que le pacte confédéral est respecté. Ainsi, les sections d’entreprise affiliées à un syndicat bénéficient également d’une autonomie de décision, dans la mesure où les principes généraux du syndicat et de la confédération sont respectés. Le syndicat est un syndicat d’industrie : en clair, c’est un syndicat interprofessionnel réunissant les différentes catégories de personnel travaillant dans une même industrie. La section d’entreprise est également interprofessionnelle.
La CNT rejette le citoyennisme, qui gomme l’appartenance de classe et ses dérives que sont le patriotisme et le nationalisme qui tendent à gommer la lutte des classe qui asservit les travailleurs et conditionne nos existences à l’exploitation par les détenteurs des moyens de productions.
Notre classe ne connaît aucune race, aucune nationalité, et nos seul.e.s ennemi.e.s sont la bourgeoisie et ses allié.e.s (flics, matons, bidasses et juges) qui répriment et tuent notre révolte permanente contre ce monde où les dieux.sses et les maîtres.ses n’ont jamais perdu la main mise permanente sur nos existences.
Notre appartenance à la classe des exploité.e.s détermine notre rejet catégorique des frontières, tracées de façon abstraite par nos maîtres, et motive notre solidarité internationale avec les exploité.e.s de toute la terre. Lorsque cela est possible, les connections avec les luttes de tous pays et continents sont bien vivantes.
Notre lutte permanente nous amène à rejeter le sexisme, l’homophobie, les discriminations de genre, de minorités, issues d’une culture de domination patriarcale.
Nous ne nous refusons pas l’action illégale, car les lois qui enferment nos frères et nos sœurs n’ont été approuvées que par cell.eux qu’elles servent, enrichissent et protègent.
Pour la lutte, et la conscience des classes, pour la solidarité interprofessionnelle, l’abolition de l’état et du capital et l’autogestion de la production !
CNT INTERPRO DIJON : 6 bis rue Musette local anarchiste la mistoufle, permanence interpro le samedi matin 9H\12H
Contact : ul@interco21.cnt-fr.org
Organisation d’une conférence de presse devant le site d’implantation de la future agence de livraison dite « du dernier kilomètre » d’Amazon à Longvic.
Rassemblement vendredi 7 janvier à partir de 16h devant l’école de la Colombière 10 avenue Jean Baptiste Greuze à Dijon
« Engagés dans la défense des valeurs de fraternité, nous appelons à se mobiliser à l’occasion de la journée internationale des migrants et réaffirmons des propositions de mesures prioritaires pour lesquelles nous luttons allant dans le sens de ces valeurs. »
Le père de Lira et Liana est enfermé en centre de rétention et risque une expulsion à tout moment. Un rassemblement de soutien est organisé par les représentant·es des parents d’élève de leur école mercredi 10 novembre.
Le collectif de soutien aux demandeurs d’asile et migrants organise samedi 16 octobre une journée de rencontre et discussions autour de la situation des mineurs non accompagnés et des familles étrangères précaires. L’évènement est ouvert à tou·te·s.
Mardi 7 octobre, une famille d’origine albanaise a été arrêtée à Dijon. Ils sont menacé d’une expulsion imminente, malgré les difficultés de santé des parents et la scolarisation du fils à Dijon.
Caractère infondé des accusations de fraude et annulation de l’obligation de quitter le territoire, un premier soulagement permettant ainsi à Sato de reprendre une vie normale auprès de ses proches, ses amis, ses collègues de travail et de formation.
Un jeune Dijonnais d’origine étrangère passe en procès pour être resté en France. Le Collectif de soutien aux demandeurs d’asiles et migrants appelle à un rassemblement le 11 février à 8h30 devant le tribunal.
Le 18 décembre est la Journée Internationale des Migrants - rassemblement à 18h devant la préfecture de Dijon.
Marche des Libertés : pour la liberté d’informer et d’être informé ! Pour la liberté d’expression , retrait de la loi sécurité globale ! Nouvelle manifestation samedi 12 décembre à 14h30 devant le TGI.
Communiqué des organisations à l’origine de l’appel.