Début janvier, les habitant·es d’un immeuble situé rue Philibert-Roux, à Auxerre, ont trouvé plusieurs crois gammées taguées au marqueur dans le hall de leur immeuble. Une plainte a été déposée. (...)
Henriette de Crans fut la première femme condamnée pour sorcellerie et à avoir été brulée vive à Besançon. Le 20 novembre dernier, lors de la manifestation contre les violences faites aux femmes un buste à son effigie a été inauguré par la maire de Besançon. Dans la nuit de lundi à mardi, cette statue a été vandalisée. Plusieurs croix gammées ont été retrouvées à proximité de la statue.
Samedi 20 novembre, la direction des opérations douanières a découvert plus de 130 armes chez un particulier dans l’Eure. Ce dernier était en compagnie d’un militaire du 35e régiment d’infanterie de Belfort.
Face à la mobilisation des opposant·es et à la faiblesse de ses relais locaux, la venue du « pas encore » candidat Zemmour est annulée ! Communiqué de l’union syndicale Solidaires 21.
Pour organiser le rassemblement contre la venue de Zemmour à Dijon, rendez-vous lundi 1er novembre à 11h et Mardi 2 novembre à 18h au local de Solidaires 21, 6 Rue Pierre Curie, 21000 Dijon.
L’Union Syndicale Solidaires 21 appelle à une mobilisation d’ampleur contre la venue de Zemmour et de ses idées dans le département et à Dijon dans la journée du 06 novembre 2021.
Vendredi 15 octobre, une croix gammée a été taguée en plein après-midi sur la salle de prière de l’association El-Imane. Des associations antiracistes dijonnaises expriment leur colère et leur inquiétude face à cet acte raciste.
Vendredi, en plein après-midi, une croix gammée (ratée...) a été taguée sur l’entrée de la salle de prière de l’association El Imane, située rue du Doubs dans le quartier de la Fontaine d’Ouche. (...)
Le 17 juillet dernier, le journaliste de radio BIP/média 25 Toufik-de-Planoise était victime d’une agression perpétrée en marge d’une mobilisation contre le pass sanitaire. L’auteur, un néonazi notoire, a été clairement identifié, et filmé dans ses basses œuvres. Alors que la profession a fait part de sa solidarité, une plainte a été déposée. Mais le 17 septembre dernier, le Procureur Étienne Manteau s’est répandu dans la presse que l’enquête patinait à cause de difficultés à « identifier les auteurs. » Une annonce invraisemblable, et qui frise plutôt avec une politique d’impunité.