
S2 EP12 - Une vision féministe de l’invasion en Ukraine
Deux fois par mois, l’Actu des Oublié.e.s s’intéresse aux luttes à travers le monde. Cette semaine, nous évoquons l’actualité ukrainienne par le prisme féministe et anarchiste.
Deux fois par mois, l’Actu des Oublié.e.s s’intéresse aux luttes à travers le monde. Cette semaine, nous évoquons l’actualité ukrainienne par le prisme féministe et anarchiste.
Deux ans après un rassemblement commun sur la place Darcy le 8 mars 2020, le Collectif 25 Novembre et les organisations syndicales CGT Côte d’Or, FSU 21 et Solidaires 21 s’associent de nouveau pour l’organisation d’une manifestation le samedi 12 mars 2022.
La journée internationale des violences faites aux femmes est un événement qui prend de plus en plus d’importance dans l’agenda politique féministe. Cependant fort est de constater qu’il continue à invisibiliser bon nombre de violences vécues spécifiquement par les personnes noires à l’intersection du cis-sexisme et du racisme.
Où il est question de l’actualité des luttes féministes et LGBTQIA+.
À Besançon, comme dans de nombreuses villes de France, le Jour du Souvenir trans a été invisibilisé par le choix de certaines associations féministe de manifester le même jour contre les violences sexistes et sexuelles.
Après-midi organisé à l’occasion du TDoR [1] au centre LGBTQIAP+ du PINK à Épinac (71). Le 20 novembre, portes ouvertes à toustes pour se renseigner sur la transidentité à partir de 15h. Soirée de commémoration réservée aux personnes trans, NB [2] et leurs proches à partir de 20h.
Après la pride apolitique et honteuse organisée par la mairie de Dijon fin septembre, voici un récit inspirant d’une pride radicale qui a eu lieu à Rennes le 16 octobre dernier.
La mairie de Dijon a illégalement demandé à une personne trans une attestation psychiatrique pour enregistrer sa demande de changement de prénom. Voici un guide pour accompagner qui le souhaite dans les démarches administratives liées à la transidentité, multiples, complexes et dissuasives.
La mairie de Dijon a demandé une attestation psychiatrique à une personne trans pour changer de prénom alors que c’est illégal. C’est une pratique réactionnaire qui assimile la transidentité à une maladie mentale et qui essaie de dissuader les personnes trans de faire les démarches qu’elles souhaitent. L.E. partage son témoignage pour que cela n’arrive plus.
La P’Est : une nouvelle liste de diffusion féministe, queer, antiraciste, anticapitaliste et anti-autoritaire du Grand Est.