Racisme



Articles liés

  • Les lacrymos, une arme de guerre civile

    Armes de « contrôle des foules » par excellence, les gaz lacrymogènes semblent être devenus l’un des outils privilégiés du maintien de l’ordre contemporain. Leur usage dans le cadre de manifestations publiques s’est systématisé ces dernières années, au point que l’image de rassemblements noyés sous les gaz semblent être devenue la norme.

  • [Strasbourg] Podcast « À nos mort.e.s »

    Le 31 octobre 2020, à l’occasion de Samhain, un moment suspendu entre la vie et la mort, entre le jour et la nuit, nous avons voulu célébrer nos mort-es à la Pigeonne, le squat queer féministe antiraciste de Strasbourg.
    Iels n’auront pas notre tristesse. Transformons nos deuils en force et nos rages en puissances. Nous avons lu et diffusé les réponses à notre appel à créations militantes, fictives, poétiques. Ces textes ou sons célébrent de manière politique nos mort-es assassiné-es ou suicidé-es, victimes du sexisme, du racisme, de la transphobie et de la transmysogynie, de la putophobie et de la queerphobie.

  • [Strasbourg] Appel à textes pour célébrer nos mort-es

    Nos mort-es sont politiques ! Chaque année, nous comptons nos mort-es suicidé-es, assassiné-es, silencié-es par féminicides, crimes racistes, transphobes, queerphobes et putophobes. Écrivons pour les célébre, iels n’auront pas nos mort-es, iels n’auront pas nos vies !

  • [Die] Dans nos campagnes la police se lâche.

    Un sans-papiers a été violemment interpellé mercredi matin, 23 septembre, au marché de Die, après que les gendarmes aient tenté de le contrôler et verbaliser pour non port du masque. Un de ses amis réagit.

  • Portland, 75e jour de soulèvement

    Gwenola Ricordeau témoigne de ce qu’elle a pu observer entre le 27 et le 29 juillet à Portland, où la révolte est continue depuis l’assassinat de George Floyd par la police.

  • Abolir la police

    Presque une quinzaine de personnes ont été tuées lors d’« interventions policières » depuis le début du confinement. Une quinzaine de noms qui viennent s’ajouter à la liste interminable des victimes de crimes policiers, aux côtés de Zyed et Bouna en 2005, Wissam el Yamni et Amin Bentounsi en 2012, Rémi Fraisse en 2014, Adama Traoré et Mehdi (à Lyon) en 2016, Zineb Redouane en 2018, Steve Maia Caniço en 2019. Sans parler de tous ceux qui n’ont pas fait la une. Une vingtaine par an si on veut s’adonner à un décompte macabre.

0 | 10 | 20 | 30 | 40 | 50 | 60 | 70