[Besançon] Entre l’association SolMiRé et l’Aide Sociale à l’Enfance du Doubs, le torchon brûle
Une trentaine de militant.e.s ont occupé le 20 novembre le site du 18 rue de la Préfecture, bien décidés à faire entendre leurs voix.
Une trentaine de militant.e.s ont occupé le 20 novembre le site du 18 rue de la Préfecture, bien décidés à faire entendre leurs voix.
Séance proposé par l’atelier d’écologie politique Penser les transition : Organisée par Jérémy Sauvineau et Lucie Dupré. Avec les interventions d’Emmanuelle Hellio et Jérémy Sauvineau le Jeudi 24 novembre – 14h à 17h, Salle Chevrier /// 3e étage, bâtiment Droit-Lettres, côté Droit /// Université de Bourgogne.
Depuis plus d’un an ce logement de fonction réquisitionné par l’association Solmiré permet un abri à des jeunes isolés étrangers dont le Département conteste la minorité. Appel à manifester contre l’inaction des pouvoirs publics, les procédures kafkaiennes d’évaluations de la minorité et la maltraitance administrative qui en résulte.
Rassemblement le jeudi 7 juillet à 17h place Darcy pour empêcher l’expulsion de trois élèves et de leurs parents.
A l’occasion de la journée internationale pour l’élimination de la discrimination raciale, vingt organisations de Côte-d’Or vous donnent rendez-vous le samedi 19 mars, de 14h à 16h, place Darcy à Dijon.
Après plusieurs semaines de mobilisation, Rizart, 11 ans, et ses parents lourdement handicapés pu obtenir un premier titre de séjour.
Occupation de l’hôtel du Département du Doubs par l’association Solmiré et des adolescents sans domicile fixe
Rassemblement Vendredi 21 Janvier à 16h pour la famille Memala devant l’école de la Colombière 10 avenue Greuze à Dijon. À l’occasion du dépôt d’un dossier de titre de séjour.
Le 12 janvier Mme W, 62 ans, convalescente d’un AVC après 10 jours de coma et 7 mois d’hospitalisation, sortie fin decembre pour entrer en EHPAD, a été expulsée en Belgique. Elle se retrouve ainsi séparée de sa fille qui remplissait le rôle d’aidante. Cette dernière est aussi menacée d’expulsion avec son bébé
Suite à la mobilisation du 7 janvier, Rizart, élève en CM2 à l’école de la Colombière, et ses parents, ont obtenu un délai de 15 jours sans risque d’expulsion pour préparer un nouveau dossier de demande de régularisation. De nouvelles mobilisations seront annoncées dans les jours ou semaines à venir.
Faute de ne pouvoir proposer et réaliser quoi que ce soit, le LR Ludovic Fagaut passe son mandat à attaquer la maire EÉLV Anne Vignot. Une stratégie qui lui permet d’exister médiatiquement et de garder ses troupes fanatisées en ordre de bataille. Mais dans un contexte de regain identitaire, les escarmouches locales ne semblent plus suffire. Après avoir animé la polémique autour de Noël initiée par le RN, le voilà à stigmatiser le traitement des réfugiés dans des publications du 29 et 30 décembre dernier. Une course réactionnaire, qui déshonore l’histoire de notre ville.
Rassemblement vendredi 7 janvier à partir de 16h devant l’école de la Colombière 10 avenue Jean Baptiste Greuze à Dijon
En pleine période de réjouissances familiales et festives, et de consommation massive, une trentaine de demandeur.es d’asile trouvent un hébergement de secours afin de passer un hiver à l’abri du froid.
L’Association SolMiRé a publié un rapport concernant les irrégularités de la procédure d’évaluation de la minorité mise en place par le Département du Doubs.
« Engagés dans la défense des valeurs de fraternité, nous appelons à se mobiliser à l’occasion de la journée internationale des migrants et réaffirmons des propositions de mesures prioritaires pour lesquelles nous luttons allant dans le sens de ces valeurs. »
L’expulsion de Rizart et de ses parents est confirmée par la préfecture, rassemblons-nous vendredi 3 décembre à 16h à la sortie de l’école de La Colombière pour soutenir Rizart.
Depuis le 29 septembre 2021, un couple originaire de Bosnie, en procédure de demande d’asile, est à la rue à Besançon avec ses 2 enfants, dont le dernier, encore au sein, a tout juste 1 an.
Le père de Lira et Liana est enfermé en centre de rétention et risque une expulsion à tout moment. Un rassemblement de soutien est organisé par les représentant·es des parents d’élève de leur école mercredi 10 novembre.
A Dijon la vie de Rizart et de ses parents, tous deux non-voyants, risque de basculer si la préfecture ne revient pas sur sa décision de les expulser. Présent depuis trois ans en France, le jeune Rizart cherche à mener la vie d’un petit garçon de 10 ans.
Le collectif de soutien aux demandeurs d’asile et migrants organise samedi 16 octobre une journée de rencontre et discussions autour de la situation des mineurs non accompagnés et des familles étrangères précaires. L’évènement est ouvert à tou·te·s.