Samedi 7 avril, lors d’une manifestation contre les réformes de la SNCF et de l’entrée à l’Université, un mannequin représentant Emmanuel Macron avait été pendu au beau milieu du cours des 50-Otages, à Nantes, puis mis à feu. Quelques jours plus tard, le procureur de la République avait ouvert une enquête pour outrage à personne dépositaire de l’autorité publique.
Jeudi 17 mai, la police judiciaire a entendu deux personnes, l’une sous le régime de la garde à vue, l’autre, mineure, en audition libre.
Mercredi 6 juin, un autre homme a été interpellé et placé en garde à vue. Les policiers le soupçonnent d’avoir frappé la marionnette. Aucune décision n’a pour l’instant été prise au sujet de ces trois personnes, l’enquête est toujours en cours.
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