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Newletter Dijoncter

Chaque semaine, la newletter de Dijoncter fait le tour des articles parus récemment sur le site !
N’hésitez pas à nous proposer des articles pour informer sur vos luttes !

Front contre l’extrême droite : Exigences sociales !

Publié le : 17 juin 2024

Ce texte, diffusé ces derniers jours dans les rues dijonnaises, essaie de réunir largement derrière lui, toustes celleux :

  • qui profiteront de l’arrivée à l’assemblée nationale de cette union de la gauche
  • qui refusent de laisser l’extrême droite accéder au pouvoir ou Macron de le conserver
  • capables de voir plus loin que ces quelques semaines de jeu électoral
  • capables d’en profiter pour ramener dans nos rangs celleux qui seront prêt-es à se battre pour la justice sociale et imposer nos exigences.

UN PEUPLE UNI NE SERA JAMAIS VAINCU !

Le pays implose car beaucoup ont pensé que le vote RN était un vote anti-Macron. Pourtant le RN promet sa politique en pire. il ne faut pas s’y tromper et se raconter des mensonges. Le Rassemblement National n’agit pas contre Macron, mais de pair avec lui : une politique au service des plus riches. Leurs idées et leurs votes sont les mêmes, ils sont contre toutes mesures de progrès social :
Retraite à 60 ans, sécurité sociale renforcée, augmentation du Smic, revalorisation des salaires, égalité salariale, blocage des prix, gel des loyers, gratuité de l’école des cantines et des fournitures scolaires, impôt sur la fortune...

S’ils arrivent au pouvoir, ce sera encore bien pire. Un désastre social sans précédent servit par une idéologie raciste, xénophobe, mysogine, homophobe, transphobe... Ce sont eux qui, arguant une « préférence nationale », laissent mourir des milliers de gens dans la mer et considèrent ceux qui sont pourtant leurs semblables comme des sous-humains.

C’est la raison pour laquelle tous les humanistes doivent prendre leurs responsabilités. Un espoir se lève. L’union de la gauche nous offre la possibilité de vaincre simultanément Marine Le Pen et Emmanuel Macron.
Le Nouveau Front Populaire qui se constitue propose un programme de rupture au profit des travailleurs, des travailleuses et de la reconstruction d’une société désirable.

Après tant d’années de politique destructrice des acquis sociaux, des services publics et de la santé du peuple, nous pouvons par le vote : Partir à la retraite à 60 ans, revaloriser le salaire minimum et tous les salaires, contrôler la hausse des prix des denrées, de l’énergie et des loyers, protéger notre environnement et notre santé, réorganiser les services publics pour les rendre au peuple, sortir enfin de l’hypocrisie politique en redonnant le pouvoir aux citoyens.

Nous pouvons, si nous nous en donnons les moyens, faire d’1 pierre 2 coups et les bloquer dans leurs élans !
Cela ne se représentera pas. L’effort pour atteindre nos objectifs est ridicule : il suffit de se lever et de convaincre son entourage de se lever pour la victoire les 30 Juin et 7 Juillet en allant glisser un petit bout de papier dans une urne.

On se retrouve et on marche dans la rue le 20 Juin depuis Place Darcy à 18h.
On s’organise dans la foulée autour de 20h pour s’organiser dans toutes les directions bonnes à prendre, y compris tractage, collage, porte à porte, manifs...

Soyons au rendez-vous de l’Histoire !

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[Podcast] Et maintenant ? // Mayday \\

Publié le : 17 juin 2024

Depuis les résultats inquiétants des partis nationalistes lors des élections européennes, depuis la décision de Macron de dissoudre l’assemblée nationale et de convoquer de nouvelles élections, jamais le fascisme pourtant déjà largement installé, ne nous avait peut-être fait aussi peur.

A écouter ICI

Toutes nos émissions se réécoutent ici ou sur les trucs de podcast : https://audioblog.arteradio.com/blog/98875/mayday

Pour un soulèvement anti-fasciste

Publié le : 17 juin 2024

1 - Le péril néo-fasciste est réel

Partout en Europe et dans le monde, des partis néo-fascistes s’emparent du pouvoir. Partout dans la société leurs idées xénophobes et autoritaires se répandent. Pourtant, pas question de banaliser ce qui nous arrive. Pas question de normaliser un parti fondé par des SS et des partisans de l’Algérie française.

Le RN est un parti néo-fasciste. Il fantasme la pureté d’une nation refermée sur elle-même. Une nation « blanche et catholique » qui exclut et discrimine. Il promeut une guerre de civilisation. Il exalte la virilité, la masculinité toxique et la force brute. Il perpétue le racisme colonial le plus rance. Il stigmatise des boucs émissaires et désigne des ennemis intérieurs : hier les « judéo-bolcheviques », aujourd’hui les « islamo-gauchistes ». Il prétend que les inégalités de classe, de genre et de race seraient « naturelles ».

Le RN s’inscrit dans la continuité historique des fascismes du XXe siècle. À la différence de l’Italie et de l’Allemagne des années 30, le néo-fascisme n’est pas un mouvement de masse avec des milices armées qui tiennent la rue. Du moins pas encore. En revanche, il s’est incrusté au plus profond de l’appareil répressif d’État. Il gangrène en profondeur les rangs de la police et de l’armée.

En moins de 20 ans, il a imposé ses idées dans le paysage culturel et médiatique, de la télé de Bolloré aux armées de trolls sur les réseaux sociaux. Il s’est installé peu à peu comme la première force électorale du pays. Aujourd’hui, il est aux portes du pouvoir.

2 - La prise de pouvoir des néo-fascistes est le prolongement logique des politiques néo-libérales et autoritaires des gouvernements précédents

Depuis des années, droite et gauche lui préparent le terrain. Sarkozy s’est vanté de vouloir « passer les banlieues au karcher » et « débarrasser la racaille ». Il a créé un ministère de l’identité nationale et multiplié les lois sécuritaires. Hollande a proclamé l’État d’urgence. Il a arrosé la jeunesse de grenades pour passer en force sa loi travail. Il a voulu introduire la « déchéance de nationalité » dans la constitution.

Macron a supprimé le droit du sol à Mayotte. Il a interdit le port de l’abaya à l’école. Il a fait voter une loi séparatisme et une loi sur l’immigration qui reprennent les propositions du RN. Il a dissout plus d’associations que n’importe quel autre gouvernement. Il soutient aveuglément l’extrême-droite israélienne et le génocide qu’elle perpétue en terre de Palestine. En banlieue, à Sainte-Soline ou en Kanaky, il déploie une police radicalisée qui exerce une violence sans borne. Une police autorisée à mutiler en masse. Une police à laquelle il a délivré un permis de tuer.

Depuis 2O ans, la gauche et la droite de gouvernement s’alignent sur les idées du RN. Elles le banalisent et le normalisent. Elles appliquent une partie de sa politique sans même que celui-ci ne gouverne. Elles organisent le règne de l’état d’exception, renforcent le racisme systémique et désignent les mêmes ennemis intérieurs que lui. L’ensauvagement du capitalisme néo-libéral et la fascisation se renforcent mutuellement. L’extrême-centre roule pour l’extrême-droite. Longtemps, il s’est servi d’elle comme épouvantail électoral pour gagner les élections en dépit de sa politique anti-sociale. Maintenant, il s’apprête à lui cèder la place. En décrétant la dissolution de l’Assemblée Nationale, Macron lui offre un boulevard. L’extrême-droite pourrait bien revenir au pouvoir pour la première fois depuis le régime de Vichy.

Entendons-nous bien, si les gouvernements successifs lui ont soigneusement préparé le terrain, une éventuelle prise de pouvoir néo-fasciste serait tout de même un moment de bascule. Une accélération fulgurante du ravage écologique, social et colonial. Un électro-choc autoritaire pour maintenir coûte que coûte la domination capitaliste.

Difficile d’imaginer la salve de mesures qui seraient adoptées en premier lieu contre les exilé·es et les personnes issues de l’immigration, les musulman·es et les quartiers populaires, les personnes LGBT et les précaires, les travailleur·euses sociaux et les associations solidaires. Difficile d’imaginer l’offensive brutale qui serait engagée contre les luttes sociales et écologiques. Historiquement, le fascisme a toujours cherché à écraser toutes celles et ceux qui s’opposent au régime, par tous les moyens. Impossible de se figurer les agissements d’une police en roue libre avec Bardella pour premier ministre.

3 – Ces élections sont cruciales mais les bulletins de vote ne suffiront pas à stopper la montée du fascisme

Gardons en mémoire le front populaire de 1936. Il est né dans la rue d’une manifestation anti-fasciste. Ses mesures phares - comme l’instauration des congés payés - sont le fruit d’une longue grève générale avec occupations d’usines enclenchée au lendemain de sa victoire aux élections. L’annonce par Nouveau Front Populaire (NFP) d’un moratoires sur les mégabassines et les autoroutes dans son programme des 15 premiers jours est le fruit du rapport de force que nos luttes ont su imposer au cours des 3 dernières années.

Le terrain et le tempo des Soulèvements de la terre sont ceux de la lutte, de l’auto-organisation des mouvements et de l’action directe populaire. Que le gouvernement soit néo-faciste, macroniste ou de gauche, nous continuerons à lutter contre l’accaparement des terres par l’agro-industrie et la bétonisation du monde. Quel que soit le résultat, nos luttes et nos actions doivent franchir un cap face aux menaces conjointes du ravage écologique et de la fascisation.

Nous vivons pour l’heure un moment historique. Il ne suffit pas de faire barrage au Rassemblement National par les urnes, il faut lui barrer physiquement la route. Il ne doit pas prendre le pouvoir, ni dans trois semaines, ni dans trois ans !

C’est pourquoi nous appelons les comités locaux des Soulèvements de la terre et les collectifs d’habitant·es en lutte auxquels nous sommes liés :

# Avant les élections

  • à renforcer les manifestations contre l’extrême-droite partout en France
  • à rejoindre la manifestation en hommage à Nahel le 29 juin prochain
  • à prendre part aux assemblées et aux banquets populaires ou à en initier
  • à multiplier les initiatives anti-fascistes à la campagne pour ne pas laisser l’extrême-droite gagner plus de terrain dans le monde rural (comme invitent à le faire depuis les luttes territoriales nos camarades de terres de lutte : https://reporterre.net/Construisons-des-resistances-locales-a-l-extreme-droite )

# Après les élections

Si le RN est au pouvoir nous devrons immédiatement faire en sorte qu’il ne puisse pas appliquer son programme. Voici de premières propositions d’actions communes et d’espaces de convergences. Nous invitons à les mettre en discussion au sein des comités locaux et des assemblées d’ici le 30 juin :

  • envisager dès à présent des blocages ciblés et des prise des ronds points partout en France dès le 8 juillet. Monter des barrages physiques à l’exercice du pouvoir et des espaces d’auto-organisation dans la rue si le barrage électoral n’a pas été suffisant.
  • empêcher, en cas d’élection du RN, que les Jeux Olympiques assurent sous les regards du monde entier la consécration d’un gouvernement fasciste.
  • confluer massivement au village de l’eau contre les méga-bassines du 16 au 21 Juillet, première grosse mobilisation estivale post-élection et lieu de rassemblement pour organiser la résistance. | Canal Télegram de la mobilisation : https://t.me/STOPmegabassines

# Avant et après les élections

  • à construire une campagne d’actions contre le groupe Bolloré, acteur majeur de la logistique néo-coloniale extractiviste dont les bénéfices servent à renforcer l’hégémonie culturelle néo-fasciste à travers son empire médiatique. Ce groupe qui oeuvre sans relâche à mettre l’extrême droite au pouvoir possède de multiples sites à travers le pays.

L’heure est grave.

Le temps est venu de construire un réseau de résistance, de tisser un maillage de contre-pouvoirs populaires.

Le temps est venu de nouer de nouvelles alliances et et déployer de nouvelles stratégies en allant à la rencontre de nombreux collectifs, syndicats et organisations.

Cela implique une lutte acharnée sur le terrain et une bataille culturelle.

Cela implique de prendre dès à présent les mesures qui s’imposent face à la répression en diffusant des pratiques de sécurité et de solidarité.

Cela exige d’être en mesure de jeter les bases d’une risposte en cas de bascule néo-fasciste.

Nous appuierons dans les semaines qui viennent des initiatives pour construire un front de lutte qui agrège des salarié·es, des étudiant·es, des paysan·nes, des habitant·es des quartiers populaires, des campagnes et des villes résolu·es à s’unir pour désarmer le fascisme.

Les soulèvements de la terre, le 14 juin 2024

[En images] La manifestation de samedi contre l’extrème-droite

Publié le : 16 juin 2024

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Manif pour la défense de l’instruction en famille (IEF)

Publié le : 16 juin 2024

Depuis 2021, l’article 49 de la loi confortant le respect des principes de la République (CRPR) réduit drastiquement l’accès à l’instruction en famille (IEF). Les familles qui veulent faire le choix de l’IEF doivent maintenant faire une demande d’autorisation au lieu d’une déclaration auprès des académies.

Cette loi a été promulguée pour faire face à des risques de séparatisme au sein des familles qui choisissent l’instruction en famille. Cependant les chiffres de le DEGESCO démontrent qu’il n’y a aucun lien entre IEF, séparatisme et phénomène de radicalisation. Il est à noter que ces chiffres n’ont pas été rendu publique au moment du vote de la loi (1).

Toutes les familles qui font le choix de l’IEF sont touchées par cette loi. La demande d’autorisation représente une charge administrative considérable pour les familles. Elles doivent préparer des dossiers pédagogiques détaillés, rassembler de nombreux justificatifs parfois difficiles à obtenir ou encore justifier de tous leurs déplacements professionnels un an à l’avance. Tout cela durant la mince période de demande d’autorisation qui s’étend du 1er mars au 31 mai. L’administration peut mettre jusqu’à deux mois avant de rendre sa décision d’autorisation ou de refus. Cette attente est une source de stress pour les familles, car cette réponse peut modifier toute leur organisation familiale et leur choix de vie.

Pour l’année 2024-2025, le NonSco’llectif a établi un suivi qui porte sur les données publiques issues des demandes d’autorisation dématérialisées pour l’IEF dans des départements répartis sur l’ensemble du territoire (y.c. ultramarin) (2). Il note un taux de refus disproportionné basé sur des a priori (environ 1 enfant sur 5 refusé). Dans les départements pour lesquels les données ont atteint la représentativité, il observe que les taux de refus varient de 3.5% à 40% selon les départements. Par exemple, en Bourgogne, de nombreuses familles dans le département de Saône-et-Loire essuient des refus alors même que le contrôle de l’instruction des enfants a été positif l’année passée.

Face aux refus, les familles peuvent rédiger des recours administratifs préalables obligatoires dans des temps impartis très courts ( 15 jours à réception du courrier). Certaines familles trouvent encore le courage de poursuivre leur volonté d’instruire leurs enfants en famille en se défendant devant le tribunal administratif.

Toutes ces démarches engendrent du stress et un coût financier considérable ( au minimum 1500 euros pour être accompagner par un avocat). Cela force également les familles à dédier un temps précieux aux dossiers, au détriment du temps passé à l’instruction de leurs enfants.

Notre collectif a demandé au rectorat de communiquer ses chiffres sur le nombre de refus et d’autorisations, mais nous restons sans réponse. Nous avons également sollicité un rendez-vous avec le Recteur qui n’a pas donné suite.

Notre collectif fait appel aux parents, aux éducatrices et aux éducateurs, aux citoyen·ne·s engagé·e·s. pour défendre une instruction libre et diversifiée. Nous militons pour un retour à la déclaration par l’abrogation de cette loi qui brime nos libertés et compromet l’avenir de tant d’enfants !

Le collectif IEF Bourgogne

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L’appel du 18 juin 2024 :

Parents engagé·e·s dans l’instruction de vos enfants,

En ces temps difficiles, il est de notre devoir de nous lever pour défendre nos valeurs fondamentales, celles qui font la grandeur et la liberté de notre nation. Depuis 2021, l’article 49 de la loi confortant le respect des principes de la République réduit drastiquement l’accès à l’instruction en famille (IEF), une liberté profondément ancrée dans nos traditions de liberté et d’égalité.

Cette loi, par son caractère coercitif, nie le droit des parents de choisir le mode d’instruction qui leur semble le plus adapté à leurs enfants. Elle impose des contraintes discriminantes qui vont à l’encontre de la diversité des parcours éducatifs et à l’autonomie des familles. Le Rectorat ne donne pas les chiffres des autorisations et des refus. Les familles vivent dans le stress en attendant le fameux césame de l’autorisation, elles reçoivent des refus sans en comprendre le fondement, l’arbitraire semble la norme.

Nous ne pouvons pas rester silencieuses et silencieux face à cette injustice. L’IEF est non seulement un choix éducatif mais aussi un acte de responsabilité.

Nous faisons appel à vous, parents, éducatrices, éducateurs, citoyen·ne·s engagé·e·s,

ensemble, nous devons résister à cette atteinte à nos droits. Ensemble, nous devons défendre notre vision d’une éducation libre et diversifiée.

Exigeons ensemble et immédiatement l’application juste de la loi et ensuite, l’abrogation de cette loi qui brime nos libertés et compromet l’avenir de tant d’enfants !

Mobilisons-nous ! Faisons entendre nos voix à Dijon, dès 14h, place de la République

collectifiefbourgogne@gmail.com

https://www.facebook.com/profile.php?id=61559333512686

Les associations de défense de l’instruction en famille et de soutien aux familles en IEF :

Les enfants d’abord :https://www.lesenfantsdabord.org

Laïa : https://laia-asso.fr

NonScoll’ectif : https://nonscollectif.org/belles-paroles/

Felicia : https://federation-felicia.org

Unie : https://association-unie.fr

1 : Les rapports de la DGESCO 2016-2017 et 2018-2019 reçus par LED’A (septembre 2021) :

https://blog.lesenfantsdabord.org/les-rapports-de-la-dgesco-2016-2017-et-2018-2019-sont-enfin-arrives-dans-la-boite-aux-lettres-de-leda/

2 : suivi des demandes pour l’année 2024-2025 par le NonSco’llectif :

https://nonscollectif.org/dl/2024-06-10_IEF_Suivi_des_demandes_2024_avec_annexes.pdf

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Un enfant qui ne va pas à l’école, c’est … extraordinaire !

En France, il y a quelques milliers d’enfants et de parents qui n’ont toujours pas trouvé de bonne raison de se/les soumettre à l’instruction linéaire et formelle de l’éducation nationale. Ils et elles exercent leur droit à la liberté d’instruction inscrite dans toutes les déclarations relatives aux droits humains et dans notre Constitution française.

12 février 2021
Supprimer l’instruction en famille pour sauver la République ?

Le 2 octobre, dans son discours sur le thème de la lutte contre ce qui est nommé ’’les séparatismes’’, le chef de l’Etat annonce rendre l’instruction à l’école obligatoire dès la rentrée 2021. C’est une atteinte à nos libertés.

30 octobre 2020
Liberté d’instruction pour tous et toutes !

Les associations nationales et locales réunies au sein de la Coordination Pour la Liberté de l’Instruction (CooPLI) appellaient à manifester dans toutes les villes de France pour le “Maintien de la liberté de l’instruction, sans recul de nos droits” les 15, 16, 17 janvier 2021, dans le cadre du WEPLI 3 (3e Week-end Extraordinaire Pour la Liberté de l’Instruction).

26 janvier 2021