
Du 29 au 31 mars 2019, bloquons l’usine Alsetex et toutes les usines d’armement des forces de l’ordre !
Appel à action à l’initiative de blessé-es, de leurs proches, de leurs soutiens et de collectifs contre les violences d’État.
Appel à action à l’initiative de blessé-es, de leurs proches, de leurs soutiens et de collectifs contre les violences d’État.
Samedi 10 février 2019, plusieurs milliers de gilets jaunes ont répondus à l’appel de l’acte XIII en défilant dans les rues de Paris. Vers la mi-journée, devant l’assemblée nationale, des affrontements ont éclaté entre manifestant.es et policiers et gendarmes. Un homme à priori photographe a voulu repousser une grenade qui venait de tomber vers sa jambe. Il a perdu plusieurs doigts lors de l’explosion de cette grenade. [1] Contrairement à ce que la pref’ raconte, il n’est pas du tout établi que cet homme s’est saisi de cette grenade.
« Déchiquetés, ensanglantés, les organes premiers de la rencontre avec le monde, les organes premiers de la révolte. »
Depuis plusieurs semaines, un certain nombre de collectifs luttant depuis plusieurs années contre les violences policières auprès des personnes gravement blessées par des armes de police, font signer un Manifeste contre les armes.
Cinq personnes, dont deux journalistes, blessées par des grenades GLI-F4 lors de
l’intervention d’évacuation de la ZAD de Notre-Dame-des-Landes saisissent le tribunal
administratif de Nantes pour engager la responsabilité de l’Etat
Dans la nuit de samedi à dimanche, un policier de la brigade anticriminalité a tiré sur un automobiliste en fuite à Montceau-les-Mines. Depuis dimanche soir, un couvre-feu a été imposé aux mineurs de moins de 17 ans dans quatre quartiers de la ville.
Mercredi soir, la manifestation contre l’usage des grenades explosives s’est terminée en harcèlement policier, les flics ayant fait preuve d’un acharnement particulièrement violent.