Bash Back ! Is Back
Faire revivre un Réseau Queer Insurrectionnel : un entretien mené par CrimethInc.
Faire revivre un Réseau Queer Insurrectionnel : un entretien mené par CrimethInc.
« Nous trouvons important en tant que collectif afroféministe de réaffirmer une nouvelle fois notre combat anticapitaliste contre le patronat qui exploite la main-d’œuvre racisée, en particulier celles des femmes noires. »
Un article du collectif Mwasi.
Tandis que l’étau de la répression se resserre sur les Soulèvements de la Terre, la priorité est à la solidarité, à la riposte juridique, et au soin des blessé·es. La question de savoir comment ne pas reproduire une telle hécatombe paraît néanmoins urgente. Ce qui suit est une série de propositions publiées dans la revue Terrestres afin de continuer à se renforcer mutuellement et faire de la place à tou·tes en contexte d’actions de masse.
Pour répondre aux conneries qu’on entend souvent dans les manifs : « c’est nous qu’allons payer pour ça ! » ; « c’est nul de s’en prendre au mobilier urbain, c’est pas un symbole capitaliste » etc.
Texte de plusieurs collectifs legal team et antirép contre la dissolution annoncée de la Defco de Rennes.
Voici un PDF du livre Soulèvement sorti à l’automne 2020, ainsi que d’une brochure d’extraits choisis. Ce livre dresse un premier bilan de la vague de soulèvement en cours depuis 2018.
Où en est – et où va – le mouvement initié en France le 19 janvier dernier pour obtenir le retrait d’une énième contre-réforme des retraites et une victoire contre un président...
Dans la continuité des « lois antiterroristes » et des dernières lois sécuritaires (lois dites « anti-casseurs », « Sécurité Globale » ou encore « Séparatisme ») et plus largement de la politique du contrôle permanent, la politique de l’État continue sur sa lancée avec la Loi d’Orientation et de Programmation du Ministère de l’Intérieur (LOPMI).
Réponse des soulèvements de la Terre à la trumpisation accélérée du ministre de l’intérieur dans le JDD
« Il y a signe de vitalité - donc raison d’être du rêve - dans toute lutte de rupture » L.Laugier.
Peut-on monter d’un cran dans le mouvement en cours ? Quelques idées.
Lettre ouverte au podcast Floraisons
L’article 7 de la loi sur les Jeux olympiques a été adopté le 23 mars par l’Assemblée, actant l’entrée formelle de la vidéosurveillance algorithmique (VSA) dans le droit français. À l’ombre du tumulte de la réforme des retraites, et grâce à une procédure extrêmement rapide, le gouvernement a réussi à faire accepter une des technologies les plus dangereuses jamais déployées.
« Et tout le monde déteste la police ! Et tout le monde déteste la police ! ». Qui n’a pas entendu scander ce mot d’ordre en manifestations, rassemblements, occupations, lors des confrontations en tête de cortège, lors des charges aveugles des voltigeurs ou bien même lors de manifestations entières nassées par des cordons sur trois lignes de CRS surarmés et sur les dents.
Je suis épuisée. Je suis en train de lire une autre longue liste de justifications pour ne pas se masquer de la part d’une personne qui s’identifie comme étant de gauche. La plus souvent répétée ? C’est comme ça, il faut juste l’accepter. Il n’y a rien que nous puissions faire. Il n’est tout simplement pas réaliste d’éliminer le COVID.
L’idée de ce texte collectif est de partager des réflexions et outils pour une organisation féministe des occupations de facs (ou autres !). Tout ça est parti de réunions en mixité choisie sans mec cis après les occup des facs de la Sorbonne et de l’EHESS en avril 2022. À la fois vénèrEs mais en même temps fièrEs d’avoir vécu des moments forts de lutte collective, on a essayé de mettre ça par écrit en pensant que ça pourrait aussi parler à d’autres. Un an plus tard nous y revoilà, que vivent les occup et l’orga féministe de nos luttes !
Ce texte a été fait principalement à partir d’un compte rendu de formation sur la question de téléphonie mobile, complété avec des bouts trouvés sur internet, car de manière générale on manque de ressources sur cette thématique dans les milieux militants.
On sent bien un ras-le-bol du travail, mais il y a une forme de politesse dans ces manifestations à l’égard du travail. « D’accord pour bosser, mais pas trop ». « Pas deux ans de plus. »
On fait semblant de manifester contre une réforme, alors que ce qu’on voudrait -si on osait- c’est manifester contre le travail.
Un texte publié par le Front de Lutte pour une Ecologie Décoloniale, diffusé par Rebellyon à l’occasion de la manifestation du Samedi 18 février : « Si la réforme des retraites s’attaque violemment à l’ensemble des parties les plus pauvres et discriminées de la population, les travailleur-euses sans papiers sont particulièrement touchées par celle-ci. »
A l’occasion de la sortie du livre Autogestion et Révolution de Charles Piaget, la librairie Sandales d’Empédocle proposait une discussion entre Charles Piaget et Roumier Théo.
Il fut un temps où la retraite était pensée et gérée comme un bien commun. Alors que la réforme pousse des millions de gens dans la rue, retour sur un mode de gestion révolutionnaire.