
🔴 Suivi de la mobilisation « De l’eau pas des puces ! »
Suivez la journée de mobilisation du 29 mars contre STMicroelectronics et Soitec sur tous les sites du réseau Mutu !
Suivez la journée de mobilisation du 29 mars contre STMicroelectronics et Soitec sur tous les sites du réseau Mutu !
Le collectif STopMicro et les Soulèvements de la terre organisent une grande mobilisation à Grenoble contre l’accaparement des ressources par les industries du numérique, et la « vie connectée ». Soitec et STMicroelectronics, deux industriels fabriquant des puces électroniques, projettent de détruire des terres agricoles et de consommer encore plus d’eau potable pour agrandir leurs usines. Pour empêcher ces extensions et renforcer le front contre l’emballement technologique et les nuisances industrielles, nous invitons à un colloque international les 28 et 29 mars à Grenoble et à une grande manifestation le dimanche 30 mars à 14 heures à Bernin.
En novembre l’atelier d’écologie politique « Penser les transitions » de l’Université de Bourgogne organisait un séminaire sur la résurgence autocton. Retrouver les podcast du séminaire !
L’état fRançais, main dans la main avec les grandes entreprises extractivistes telles qu’Imerys, envisage la création de plusieurs mines sur son territoire. Son ambition phare : une mine d’extraction de lithium à Echassières dans l’Allier. Un métal rare essentiel dans la fabrication de batteries électrique.
Alessandro Stanziani retrace l’histoire du blé, véritable moteur des bouleversements écologiques et rivalités géopolitiques depuis le XVIIe siècle.
Sainte-Soline n’aurait jamais du être construite et son remplissage est illégal. Les manifestant•es réprimé•es le 25/03/2023 étaient dans le vrai.
Ce samedi 30 novembre, les collectifs Extinction Rebellion et Attac ont agi collectivement contre le Black Friday, symbole mondial de la surconsommation et désastre écologique et social. Les militant·es ont pour l’occasion redécoré les lockers Amazon de Dijon, les rendant « Hors service » afin d’alerter le grand public sur les conséquences d’un tel commerce qui ne profite qu’à ses dirigeants.
Nous appelons à mener partout bataille contre Bolloré : parce que c’est un acteur du ravage écologique, de l’exploitation néo-coloniale mais aussi parce qu’il est devenu en quelques années un levier majeur de la conquête du pouvoir par l’extrême droite.
A Dijon, 4e ville la plus verte de France, les réseaux de chaleur biomasse « bas carbone » sont censés décarboner la chaleur, avec par exemple la centrale biomasse de Dalkia , la chaufferie des Péjoces. Cependant, de très nombreux éléments scientifiques démontrent que cette neutralité carbone du bois énergie est erronée et que la combustion du bois accélère de façon massive le changement climatique, contrairement au stock de carbone dans les forêts, dans le bois matériau et dans le biochar qui améliore les sols agricoles. Il est donc urgent de s’attaquer au greenwashing des réseaux de chaleur biomasse de Dijon.
Au fil d’un voyage dans les rouages de l’IA, on se demandera comment elle affecte les plus vulnérables et quel en est l’enjeu et le prix de sa « démocratisation ». Dans le cadre du Livrosaurus Rex, festival du livre et des cultures libres des Tanneries de 2024, par Celia Izoard