Grève au CHU de Dijon
La situation dans les hôpitaux est toujours plus critique. De plus en plus de professionnels ne supportent plus les conditions inhumanisantes dans lesquelles ils exercent et jettent l’éponge. (...)
La situation dans les hôpitaux est toujours plus critique. De plus en plus de professionnels ne supportent plus les conditions inhumanisantes dans lesquelles ils exercent et jettent l’éponge. (...)
Dijoncter est accueilli sur les ondes de radio campus tous les mardis matins.
Toutes les chroniques audio sont à retrouver dans la rubrique « Sur l’onde ». Chronique Dijoncter - #84 Retour (...)
Le collectif FSU-CGT-Solidaires Environnement de la DREAL BFC dénonce les attaque du mouvement de colère des agriculteurs visant les OFB .
« A Carcassonne, le rez-de-chaussée de la DREAL a été (...)
Comme en 2023, l’Assemblée de la grève féministe de Dijon réouvre une caisse de grève pour les grévistes (du travail salarié, des cours, du chômage, du travail domestique, de l’éducation des enfants, du travail émotionnel etc. etc. etc.) femmes et minorités de genre qui seront en grève le 8 mars 2024 pour la seconde grève féministe locale.
Des restrictions budgétaires inédites privent le personnel des moyens matériels de travailler. Face à cet état de fait, les enseignant.e.s réuni.e.s en Assemblée générale le 18 janvier ont décidé de se mettre en grève lundi 22 janvier.
Une discussion organisée à l’Espace Autogéré des Tanneries.
Après l’animation de la première grève féministe de Dijon, le 8 mars 2023, le collectif de la grève féministe appelle à une nouvelle « AGGF » : une Assemblée Générale de la Grève Féministe, le jeudi 9 novembre à 18h30 à la Maison des syndicats.
Tandis que l’étau de la répression se resserre sur les Soulèvements de la Terre, la priorité est à la solidarité, à la riposte juridique, et au soin des blessé·es. La question de savoir comment ne pas reproduire une telle hécatombe paraît néanmoins urgente. Ce qui suit est une série de propositions publiées dans la revue Terrestres afin de continuer à se renforcer mutuellement et faire de la place à tou·tes en contexte d’actions de masse.
Pour répondre aux conneries qu’on entend souvent dans les manifs : « c’est nous qu’allons payer pour ça ! » ; « c’est nul de s’en prendre au mobilier urbain, c’est pas un symbole capitaliste » etc.