Le 24 mai, rejoignez la flotille feministe contre Bollore et son monde - déter et festive en mixité choisie MINT (meuf intersexe non binaire trans), dans le cadre de la mobilisation Levons Les Voiles, autour de l’archipel des Glenan en Bretagne.
Communiqué du comité local de Beaune/Vallée de l’Ouche des Soulèvements de la Terre, contre la promotion de la fête de la moto et du rally en 8 jours à Bligny sur Ouche.
On a décidé de prendre le temps d’essayer d’articuler les raisons de notre refus de participer à la dynamique des soulèvement de la terre. Pas tant pour la nouveauté de nos réflexions, parce que du nouveau dans toute cette histoire il n’y en a pas. Personne n’a réinventé la roue ces derniers temps et on peut dire que tout a déjà, à d’autres moments, été vécu, dit ou réfléchi. Même dans l’histoire des anarchistes ou des autonomes qui à un certain moment, se retrouvent, peut-être par manque de perspective ou plutôt par besoin de reconnaissance, à être attirés par l’idée d’organisation verticale avec des comités centraux qui se projettent en interlocuteur autoproclamé avec le pouvoir en place. C’est pas nouveau, et la récupération politique de franges radicales par des organisations et partis de gauche non plus. Alors pourquoi se pencher là dessus, et se donner la peine de formuler ces critiques ? Simplement parce que des fois, ça peut aider, pour passer une fois pour toutes, à autre chose de plus intéressant et plus stimulant.
Le 8 février - 16H au Black Market - Dijon. Première secousses est un livre manifeste autant que récit, une oeuvre ressource et un essai collectif visant à susciter les débats essentiels à tout réseau de résistance. Il a été écrit par des dizaines de mains depuis le cœur du mouvement, pour mettre en partage les expériences, les hypothèses et les paradoxes qui donnent au corps aux soulèvements de la terre et appeler à leur donner suite.
Rendez-vous aux Tanneries le jeudi 6 février pour rencontrer le collectif grenoblois StopMicro38 qui organise avec les Soulèvements de la terre un grand week-end de mobilisation du 28 au 30 mars. Au programme : manifs et conférences contre l’accaparement de l’eau, la numérisation du monde et le technofascisme.