Mobilisation nationale pour des forêts vivantes
Mobilisation nationale contre l’industrialisation de la forêt le 5 octobre à Guéret avec balades naturalistes, pique-nique, manifestation et concerts.
Monde rural
Articles liés
-
-
Lettre dénonçant le suicide volontaire et organisé de nos paysans
Témoignage de J., agriculteur, victime des institutions qui régissent le monde agricole français
-
-
« Les Soulèvements de la Mare » - excursion sonore à Montmorot
Samedi 17 février, le collectif les « Naturalistes des terres » et des habitant.es du coin, organisaient une journée de mobilisation pour défendre une zone humide menacée par l’urbanisation.
-
-
Sabotages, blocages, explosions : que se passe-t-il chez les agriculteurs ?
Une souffrance bien réelle récupérée par le lobby de l’agro-industrie. Article de Contre-attaque
-
Action « Sapin de Noël de l’Élysée » : une industrie nocive pour l’eau, la terre, la forêt
La coupe ajournée du sapin chez Bonoron, à Bonin
Une victoire dans le Morvan ce vendredi 7 novembre à Bonin puisque devait avoir lieu, en grande pompe, l’abattage du sapin de Noël de l’Élysée (...) -
Le photovoltaïque dans les champs devant le tribunal administratif
Le recours contre les autorisations accordées au projet de parc photovoltaïque de Germenay-Dirol sera examiné le 9 novembre à 11h par le tribunal administratif de Dijon.
-
Ciné-débat sur la mobilité rurale et urbaine
Jeudi 22 juin à 19h à Beaune, France Nature Environnement Bourgogne-Franche-Comté et FNE Côte d’Or organisent un ciné-débat sur le thème des mobilités rurales et urbaines : quelles alternatives au tout voiture ? Comment développer une mobilité qui bénéficie à la fois à nos porte-monnaies, à la qualité de notre air et à la préservation de notre climat ?
-
Contrat de tâche en péril... Réponse des ouvriers viticoles CGT à l’article du Bien Public !
Suite à un article du Bien Public sur les négociations en cours portant sur le contrat de tâche dans la viticulture, les ouvriers viticoles CGT, par la voix de leur UL CGT, répondent. Dans l’article du BP, seule la voix patronale était entendue. Voici donc la réponse des salariés.
