
L’écoterroriste, un ennemi intérieur de plus ?
Décryptage d’une propagande contre-insurrectionnelle depuis le buzz médiatique de l’attaque des méga-bassines [Enquête Critique]
Décryptage d’une propagande contre-insurrectionnelle depuis le buzz médiatique de l’attaque des méga-bassines [Enquête Critique]
Face à la criminalisation des luttes écologistes que tente d’opérer le gouvernement, plus de 3000 signataires s’engagent à rester solidaires des luttes écologistes radicales. Un texte signé localement par, entre autres, l’espace autogéré des Tanneries, le quartier des Lentillères, et les Jardins de Vaîtes.
50 questions que la DGSI pose en garde-à-vue antiterroriste.
En Russie, les citoyens déclarés coupables de « sabotage » risquent désormais d’écoper de la prison à perpétuité.
* Infos sur le Plan Prison ; textes parus contre les constructions de nouvelles prisons (Noisy-le-Grand, Loos, Muret, Tremblay, Entraigues & Toul) ; entreprises collabo du système carcéral ; et quelques communiqués d’actions anti-carcérales des derniers mois ici ou là. *
Libre Flot est placé sous bracelet électronique, pour « raison médicale » suite à sa grève de la faim. C’est une étape importante franchie dans l’affaire du 8 décembre, mais la lutte continue :
Libre Flot, inculpé le 8 décembre 2020 avec six autres personnes pour association de malfaiteurs à caractère terroriste, est toujours incarcéré, en attente d’un procès. Il a entamé une grève de la faim le 27 février. Voici de ses nouvelles.
Libre Flot, inculpé le 8 décembre 2020 avec six autres personnes pour association de malfaiteurs à caractère terroriste, est toujours incarcéré, en attente d’un procès. Il a entamé une grève de la faim le 27 février. Voici de ses nouvelles.
Libre Flot, inculpé le 8 décembre 2020 avec six autres personnes pour association de malfaiteurs à caractère terroriste, est toujours incarcéré, en attente d’un procès. Il a entamé une grève de la faim le 27 février. Voici sa dernière lettre de prison, suivie de nouvelles.
Lettre écrite par l’une des inculpée, à l’occasion du nouveau refus par la justice française de remise en liberté de la dernière des personnes incarcérée dans cette affaire.