[Puy-de-Dôme] Giga-bassines, Ni ici, ni ailleurs
▶ 11 Mai 2024, rando festive et déterminée pour la défense de l’eau. 💧
▶ 11 Mai 2024, rando festive et déterminée pour la défense de l’eau. 💧
Partout en France, des collectifs répondent à l’appel de « Bassines non merci » pour marquer le coup, un an après la mobilisation de Sainte Soline qui fut un ébranlement en de multiples sens. À Dijon, cela prendra la forme d’un banquet place Wilson, le samedi 23 mars à 20h. Alors, plus que jamais, venons crier ensemble : No bassaran !
L’association Hôtel de la Gare de La Roche-en-Brenil, propose une projection du documentaire De l’Eau jaillit le feu, le vendredi 03 novembre, à 20h30. Le café associatif sera ouvert à partir de 18h30.
Il est temps que les chantiers en cours dans les Deux-Sèvres s’arrêtent ! Communiqué de Bassine Non Merci, Confédération Paysanne, Soulèvements de la Terre.
Macron appelle à une « pause » des mesures écologiques et appuie les politiques agro-industrielles qui essorent les plaines. Il relance la construction des bassines des neiges, qui vident les nappes des montagnes, et augmente encore l’artificialisation des sols qui fait fuir l’eau hors des terres. A nous de réagir...
« Nous appelons au soutien des quatre personnes qui passent devant le tribunal de Niort pour avoir participé à la manifestation contre les méga-bassines à Sainte-Soline en mars dernier. »
Appel à méga-tracto-vélo contre les méga-bassines - du 18 au 27 août - Pour le partage de l’eau et des terres
Vendredi et samedi derniers avait lieu une mobilisation des collectifs contre les bassines en Haute Vienne. Cette descente du Clain en canoë a commencé par un rassemblement, vendredi matin, devant la prison de Poitiers-Vivonne, en solidarité avec les deux militants, dont Loïc, qui y sont actuellement incarcérés. C’est à cette occasion que cette lettre a pu être lue.
Ce texte fait suite à un autre texte qui circule suite à la manifestation du 25 mars à Sainte-Soline, et qui commet plusieurs erreurs d’appréciation par rapport aux collectifs et personnes qui ont été impliquées dans l’organisation et la « gestion » de cette journée. Encore une fois, le spectre de la ZAD vient y simplifier l’analyse, en se fondant sur des conflits et violences anciennes ou plus récentes qui, si elles ont été bien réelles, ne peuvent indéfiniment être mobilisées ou instrumentalisées pour essentialiser et dégommer des mouvements plus actuels qui tentent de les dépasser, et qui sont moins binaires qu’on ne voudrait.
Tandis que l’étau de la répression se resserre sur les Soulèvements de la Terre, la priorité est à la solidarité, à la riposte juridique, et au soin des blessé·es. La question de savoir comment ne pas reproduire une telle hécatombe paraît néanmoins urgente. Ce qui suit est une série de propositions publiées dans la revue Terrestres afin de continuer à se renforcer mutuellement et faire de la place à tou·tes en contexte d’actions de masse.