Alarmphone : 10 ans en lutte contre les frontiéres
Vendredi 24 janvier à 18H aux Tanneries : présentation du réseau, discussions, diner à prix libre et projection de courts-metrages
Vendredi 24 janvier à 18H aux Tanneries : présentation du réseau, discussions, diner à prix libre et projection de courts-metrages
Le matin du 13 mai 2021, deux hommes d’origine indienne vivant dans Kenmure Street à Glasgow sont enlevés et détenus dans un fourgon des services d’immigration dans la rue. Aussitôt les voisin.es encerclent le van, durant 8 heures, jusqu’à la libération des deux hommes.
Lundi 16 septembre, le réalisateur Victor Desmettre vient présenter aux Tanneries la série documentaire qu’il a tournée sur le travail des bénévoles et la situation des personnes exilées déterminées à franchir la mer de la Manche, frontière entre l’Europe et le Royaume-Uni.
Table ronde sur les parcours plein d’embuches des personnes migrantes en Bourgogne Franche Comté. Dans le cadre du festival contre la loi immigration organisée par les étudiants à l’Université de Bourgogne en 2024
Le 29 février aux Tanneries 27 rue des Ateliers 19h, première réunion d’organisation publique contre la construction d’un nouveau Centre de Retention Administrative à Longvic.
Cette brochure propose une recension exhaustive des lois, décrets, fichiers et dispositifs régissant l’entrée et le séjour des étrangers en France mis en place de 1972 à 2023.
Samedi 24 février à 18h à l’espace autogéré des Tanneries, rencontre avec Lyon Anticra, collectif de soutien aux prisonnièr·es des deux Centres de Rétention Administrative de Lyon et de lutte pour l’abolition des centres de rétention, la fin de l’enfermement et la fin des expulsions.
Dans la nuit du 27 au 28 octobre 2023, la police a traqué un groupe de quatre personnes parti de Clavière vers 4h du matin.
Le Collectif Odyssée Beaune raconte l’arrestation de Mariam, 15 ans, alors qu’elle attendait une mise à l’abri du Département.
Le 16 juin 2022, un homme est décédé des suites d’une blessure à la tête causée par un tir policier. La raison sous-jacente est que, dans le véhicule, il y avait des personnes sans papiers et que le conducteur a refusé d’obtempérer.