VSA, la surveillance bâtit son empire
La Quadrature du Net appelle à s’opposer à la mise en place des expérimentations de la vidéo surveillance algorythmique (VSA) et nous propose son kit de mobilisation
La Quadrature du Net appelle à s’opposer à la mise en place des expérimentations de la vidéo surveillance algorythmique (VSA) et nous propose son kit de mobilisation
La vidéosurveillance algorithmique menace nos villes, contre-attaquons !
Bientôt c’est les JO, et on compte bien perturber la messe sans attendre la cérémonie d’ouverture ! Alors on appelle tous-tes celle-ux qui sont plus partisan-nes du feu de joie que de la flamme olympique à prendre part aux jeux du zbeul 2024. Un blog (zbeul2024.noblogs.org) et un compte twitter (@Zbeul2024) serviront à relayer des initiatives de zbeul antiJO, que ce soit là où se dérouleront les épreuves comme n’importe où ailleurs !
Les JO sont une bonne occasion de mettre tout le monde au pas, et de déployer pour cela des équipements sécuritaires à chaque fois plus inédits. Pour avoir une petite idée de qui participe à ce jeux morbide, voici la liste des entreprises qui se font de la maille avec le business du réarmement et de la surveillance.
Samedi 9 décembre 2023 : soirée techno / gabber aux Tanneries, en soutien à la caisse de solidarité contre la répression.
En 2015, les forces de l’ordre ont acquis, en secret, un logiciel d’analyse d’images de vidéosurveillance de la société israélienne Briefcam. Depuis huit ans, le ministère de l’intérieur dissimule le recours à cet outil qui permet l’emploi de la reconnaissance faciale.
Carte des saccages causés par les Jeux olympiques et paralympiques de Paris 2024 !
L’Assemblée nationale a adopté le projet de loi d’orientation et de programmation du ministère de la justice pour les années 2023-2027. Parmi de multiples dispositions, ce texte prévoit l’introduction dans le droit français la possibilité pour la police d’activer des appareils et objets électroniques à distance, que ce soit les fonctionnalités de géolocalisation, des micros ou des caméras.
« Nous en parlions déjà il y a deux ans : au-delà de la surveillance de nos rues, la surveillance biométrique se déploie aussi dans nos supermarchés pour tenter de détecter les vols en rayons des magasins. À la tête de ce business, la start-up française Veesion dont tout le monde, même le gouvernement, s’accorde sur l’illégalité du logiciel mais qui continue à récolter des fonds et des clients en profitant de la détresse sociale »