
Les Bestiales – Rencontres autour de l’émancipation animale
Ces rencontres auront lieu du 17 au 20 février 2023 autour de Bure dans la Meuse (55). Les informations seront actualisées sur bureburebure.info.
Ces rencontres auront lieu du 17 au 20 février 2023 autour de Bure dans la Meuse (55). Les informations seront actualisées sur bureburebure.info.
L’Université d’Été de la Libération Animale, ou UELA, est née en avril 2018 suite à la volonté de créer un événement animaliste réfléchissant à l’articulation des luttes et refusant toutes les oppressions, reprenant la devise « libération animale – libération humaine ».
L’actualité vue par les rues de Dijon et alentours ces dernières semaines. Au programme pour ces derniers mois : antispécisme, antifascisme et sabotage.
Analyse sur la cohérence des idées dans le monde anti-autoritaire et antispéciste.
Après l’élevage de Visons d’Emagny, celui de Montarlot les Rioz c’est aussi FINI !
9 années pour une merveilleuse victoire pour les visons ! Des manifestations devant les élevages Des (...)
Ce samedi 4 septembre se tenait le rassemblement annuel pour la fermeture de l’élevage de chiens de Mézilles.
Organisé par One Voice, l’événement a rassemblé une centaine de personnes devant (...)
L’Université d’Été de la Libération Animale est un événement autogéré d’échanges et de rencontres autour de la libération animale et de l’antispécisme. Elle aura lieu aux Tanneries du 10 au 18 juillet.
Communiqué de presse de Sud Collectivités Territoriales de la Ville de Lyon suite à la polémique actuelle sur les menus sans viande dans les écoles lyonnaises. Cette fausse polémique ne doit pas nous faire oublier que le vrai problème aujourd’hui est la condition de travail des agents des écoles.
En Côte d’Or, comme dans le reste de l’Europe, le loup et les éleveurs devront cohabiter. La présence du loup a été remarqué en Côte d’Or mais la préfecture a déjà autorisé le tir du loup. Est-ce en lien avec la manifestation de la FDSEA devant la préfecture ?
Vendredi 29 janvier, des agriculteurs paralysaient Dijon. Animés par différentes revendications, ils ont été reçus par le préfet. Dans la foulée, un arrêté préfectoral autorisait le « tir de défense simple » au bénéfice d’un éleveur de Francheville, et au détriment du loup « suspecté » d’avoir attaqué son troupeau de brebis à plusieurs reprises.