Du 30 mai au 1er juin, venez danser, jouer, manger, vous rassembler et lutter pour fêter les 15 ans du Quartier Libre des lentillères ! Au programme un Grand Jeu, un rassemblement, des concerts, de la bouffe vegan, des septacles ou encore un karaoké queer !
On a décidé de prendre le temps d’essayer d’articuler les raisons de notre refus de participer à la dynamique des soulèvement de la terre. Pas tant pour la nouveauté de nos réflexions, parce que du nouveau dans toute cette histoire il n’y en a pas. Personne n’a réinventé la roue ces derniers temps et on peut dire que tout a déjà, à d’autres moments, été vécu, dit ou réfléchi. Même dans l’histoire des anarchistes ou des autonomes qui à un certain moment, se retrouvent, peut-être par manque de perspective ou plutôt par besoin de reconnaissance, à être attirés par l’idée d’organisation verticale avec des comités centraux qui se projettent en interlocuteur autoproclamé avec le pouvoir en place. C’est pas nouveau, et la récupération politique de franges radicales par des organisations et partis de gauche non plus. Alors pourquoi se pencher là dessus, et se donner la peine de formuler ces critiques ? Simplement parce que des fois, ça peut aider, pour passer une fois pour toutes, à autre chose de plus intéressant et plus stimulant.
Le 8 février - 16H au Black Market - Dijon. Première secousses est un livre manifeste autant que récit, une oeuvre ressource et un essai collectif visant à susciter les débats essentiels à tout réseau de résistance. Il a été écrit par des dizaines de mains depuis le cœur du mouvement, pour mettre en partage les expériences, les hypothèses et les paradoxes qui donnent au corps aux soulèvements de la terre et appeler à leur donner suite.
En attendant la finalisation du programme, nous vous invitons d’ores et déjà à noter la date ! La journée d’étude aua lieu le Vendredi 6 juin 2025 à la Maison-phare.
Rendez-vous aux Tanneries le jeudi 6 février pour rencontrer le collectif grenoblois StopMicro38 qui organise avec les Soulèvements de la terre un grand week-end de mobilisation du 28 au 30 mars. Au programme : manifs et conférences contre l’accaparement de l’eau, la numérisation du monde et le technofascisme.
Nous sommes un collectif réuni au sein d’une association exploitante agricole dénommée Caracol, installée dans le parc naturel régional des Causses du Quercy (département du Lot, Occitanie). Parce que nous souscrivons à l’idée que « l’impossibilité d’accéder à la nourriture est une violence qui s’exerce contre les plus pauvres » (Bénédicte Bonzi, 2023), nous avons débuté la création d’une ferme en maraîchage biologique dont le produit sera distribué par une caisse autogérée de sécurité sociale de l’alimentation. Article en partie paru sur IAATA.
Rendez-vous était donné pour un banquet samedi 23 mars sur la place Wilson pour fêter l’anniversaire de la manifestation de Sainte Soline et témoigner de la persistance des mouvements écologistes malgré la répression.
Samedi 17 février, le collectif les « Naturalistes des terres » et des habitant.es du coin, organisaient une journée de mobilisation pour défendre une zone humide menacée par l’urbanisation.
Le collectif FSU-CGT-Solidaires Environnement de la DREALBFC dénonce les attaque du mouvement de colère des agriculteurs visant les OFB .
« A Carcassonne, le rez-de-chaussée de la DREAL a été (...)
Dans le cadre de l’appel national contre Lafarge et le monde du béton, les comités Soulèvements de la terre BFC convergent pour une première action commune le samedi 9 décembre !