Contre l’élection de Miss France 2024 à Dijon
Des organisations féministes, syndicales et associatives dénoncent l’élection de Miss France 2024, dont la cérémonie aura lieu au Zénith de Dijon ce samedi 16 décembre.
Un autre syndicalisme
Indépendant de tous les pouvoirs, SUD éducation lutte contre toutes les attaques d’où qu’elles viennent. Nous portons en toute autonomie nos revendications pour les personnels et le service public. Membres de l’Union syndicale Solidaires, nous voulons l’unité et la convergence des luttes. Pour nous le syndicalisme c’est rassembler les personnels, construire la démocratie à la base et l’autogestion dans la vie du syndicat.
Une autre école, une autre société
Nos conditions de travail se dégradent. Notre charge de travail augmente. La précarité se développe. Les pressions hiérarchiques se multiplient. Les inégalités se creusent dans la société et à l’école : entre les territoires, les élèves, les personnels. Pour nous l’école n’est pas une entreprise, l’éducation n’est pas une marchandise. C’est pourquoi SUD éducation lutte contre le libéralisme, contre toutes les discriminations, contre toutes les inégalités. Nous défendons l’autogestion et les pédagogies alternatives. Pour une autre société, une autre école : publique, gratuite, laïque, égalitaire et émancipatrice.
Une autre voix face à la hiérarchie
Dans les établissements, dans les écoles, dans les commissions et dans la rue, SUD éducation est toujours sur le terrain pour défendre et accompagner tous les personnels, statutaires ou précaires, de la maternelle à l’université, syndiqués ou non. Militer à SUD éducation, c’est faire entendre une voix sans complaisance dans les CAP, les CT, les CCP ; sans connivence avec la hiérarchie. SUD éducation ne (se) laisse pas faire, nous ne sommes pas un syndicat de cogestion mais un syndicat de lutte.
Des organisations féministes, syndicales et associatives dénoncent l’élection de Miss France 2024, dont la cérémonie aura lieu au Zénith de Dijon ce samedi 16 décembre.
Lettre ouverte du collectif AESH 21-71 (Accompagnante des Elèves en Situation de Handicap) à la députée Claire Guichard, après ses propos tenus à l’assemblée nationale : « La vie est faite de choix, beaucoup d’AESH choisissent ce statut pour avoir les mercredis et les vacances scolaires, et elles assument. »
Communiqué départemental intersyndical sur les recrutements par job dating dans l’académie. Le recrutement par job dating c’est l’ubérisation du métier d’enseignant. C’est un pas de plus vers une privatisation de l’école. Les organisations syndicales signataires demandent audience au Rectorat le 28 Juin en fin de matinée et appellent à un rassemblement/conférence de presse à 9h le mardi 28 juin devant Pôle Emploi Nord.
Nouvel épisode de la série de SUD Éducation sur la lutte des AESH (accompagnants d’élèves en situation de handicap) au sujet de leurs conditions de travail.
Les « classes défense et sécurité globale », que Blanquer et Parly sont venu·es promouvoir, sont une preuve que la volonté de ce gouvernement n’est en rien l’émancipation de la jeunesse, mais bien son encadrement. Les ministères des Armées et de l’Éducation nationale veulent une classe qui se tient sage !
Mépris, silence, et mensonges du Rectorat de Dijon à l’encontre des personnels Accompagnant·e·s d’Elèves en Situation de Handicap (AESH).
Un budget loin de traduire une ambition éducative, un état de fatigue de tous les personnels jamais atteint, un épuisement dû à des années de dégradation des conditions de travail… Plusieurs syndicats de l’éducation appelle à la grève pour le 26 janvier !
Environ 70 professeurs de tous les niveaux étaient rassemblés mercredi 15 janvier au matin devant le rectorat. Après avoir bloqué les portes du bâtiment ils ont symboliquement jeté leurs cartables devant l’entrée principale.
Le 9 mai, face aux attaques extrêmement dures qui touchent l’école, les hôpitaux, les collectivités territoriales, une grève interprofessionnelle a lieu jeudi 9 mai. À Dijon une manifestation partira de la place de la Libération à 14h30.
Face au traitement médiatique et la répression policière de la colère lycéenne, les communiqués de soutien affluent, la jeunesse est dans la rue.
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