Jeudi 18 novembre, les salarié·es de General Electric Belfort se sont rassemblé·es devant les ateliers de production du groupe américain à l’appel de la CGT de la filière gaz. Ils et elles réclament une prime de fin d’année de 1500 €. Cette mobilisation s’appuie sur une pétition signée par 550 salarié·es.
Suite au plan social de 2019, les effectifs sont passés de 1800 à 1275 salarié·es, et en 2022 les ateliers devront produire près de 55 turbines contre 30 en 2021. « Cela fait deux ans que les travailleurs des ateliers de production bossent comme des fous en mode dégradé six jours sur sept, puisque les heures supplémentaires, ils en font quasiment tous les samedis. On a des métiers physiques et ça se ressent au quotidien par les copains » [1].
La direction a proposé une augmentation générale des salaires d’1,25%,ce qui ne suffit même pas à compenser l’inflation.
ici comme ailleurs, pour un féminisme décolonial et anticapitaliste
Une coordination de féministes françaises et internationales rendent hommage à la révolution iranienne : car ici comme ailleurs, la police tue. Pour le 16 septembre et la commémoration du meurtre de Jina par la police des moeurs en Iran, des queer, chercheuses, féministes iraniennes, travailleuses et travailleurs du sexe, historien.nes, artistes, infirmières... du monde entier élèvent la voix pour contrer le discours libéral !
Compléments d'info à l'article
Proposer un complément d'info