Nous regrettons amèrement la décision rendue par le tribunal qui ajoute une insécurité certaine au bon déroulé de la manifestation car il n’y a plus de parcours réellement partagé par l’ensemble des parties.
Par ailleurs, la temporalité imposée par la préfecture empêche le bon exercice du droit ! En effet, tant les motifs de justification du TA sont critiquables, notre organisation aurait souhaité saisir la plus haute juridiction, à savoir le Conseil d’Etat ! Cette décision assume donc les délais scandaleux des arrêtés préfectoraux. Cette décision est loin d’être anodine et pose en droit une question fondamentale !
De surcroît, nous ne partageons pas l’analyse du TA sur les « risques » liés à cette manifestation et encore moins la justification pour que 13 mariages se déroulent tranquillement dans la mairie de Dijon.
Néanmoins, la PRIDE 2024 de Dijon va bien se tenir et se vivre pleinement, nous vous l’affirmons ! L’arrêté préfectoral pris hier l’affirme et la décision du TA accepte que la manifestation est autorisée partout où cela n’est pas interdit !
Pour le parcours, faisons preuve d’imagination !
Faisons preuve de solidarité, faisons vivre nos fiertés !
Rendez-vous dès 14h, place de la République à Dijon !
Rencontre avec Mathias Quéré, auteur de « Quand nos désirs font désordre, histoire du mouvement homosexuel en France »
Rendez-vous mercredi 5 février prochain à 19h pour une réjouissante rencontre avec Mathias Quéré autour de son essai Quand nos désirs font désordre, histoire du mouvement homosexuel en France, 1974-1986, publié aux éditions Lux !
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