[Cycle des 9] Du mouvement social à l’insurrection ?
Le cycle des 9 discussions animées continue avec une discussion de stratégie sur les modes d’actions politiques, à partir de scénarios fictifs pour nous aider à penser des renversements radicaux.
Le cycle des 9 discussions animées continue avec une discussion de stratégie sur les modes d’actions politiques, à partir de scénarios fictifs pour nous aider à penser des renversements radicaux.
Traduction d’un texte du collectif CrimeThinc qui analyse 22 ans après le blocage de l’OMC à Seattle ce que le mouvement qui a débuté à ce moment là peut nous apprendre aujourd’hui.
Mardi matin, les policiers du Raid ont interpellé quatre personnes dans le quartier de la Petite Hollande, à Montbéliard. Les fait reprochés concernent les émeutes ayant eu lieu dans ce quartier (...)
Armes de « contrôle des foules » par excellence, les gaz lacrymogènes semblent être devenus l’un des outils privilégiés du maintien de l’ordre contemporain. Leur usage dans le cadre de manifestations publiques s’est systématisé ces dernières années, au point que l’image de rassemblements noyés sous les gaz semblent être devenue la norme.
Les forces de l’ordre se sont faites ambiancer pour le deuxième week-end consécutif dans certains quartiers de Mâcon.
Super-bulletin n°45 d’infokiosques.net (novembre 2020).
« Parce que pour tous les assassinats policiers, il n’y aura ni oubli ni pardon, parce que les luttes passées peuvent inspirer les luttes présentes et à venir, nous avons publié récemment sur infokiosques.net deux »vieilles« brochures revenant sur la révolte incendiaire d’octobre-décembre 2005. »
Gwenola Ricordeau témoigne de ce qu’elle a pu observer entre le 27 et le 29 juillet à Portland, où la révolte est continue depuis l’assassinat de George Floyd par la police.
Malgré les restrictions, les feux d’artifices ont été au rendez-vous pour ce 14 juillet. Et c’est la police qui en a fait les frais.
Presque une quinzaine de personnes ont été tuées lors d’« interventions policières » depuis le début du confinement. Une quinzaine de noms qui viennent s’ajouter à la liste interminable des victimes de crimes policiers, aux côtés de Zyed et Bouna en 2005, Wissam el Yamni et Amin Bentounsi en 2012, Rémi Fraisse en 2014, Adama Traoré et Mehdi (à Lyon) en 2016, Zineb Redouane en 2018, Steve Maia Caniço en 2019. Sans parler de tous ceux qui n’ont pas fait la une. Une vingtaine par an si on veut s’adonner à un décompte macabre.
Récit d’une matinée d’école pas comme les autres après trois journées angoissantes dans le quartier.