
Super Bingo ! Quel terroriste d’ultragauche es-tu ?
50 questions que la DGSI pose en garde-à-vue antiterroriste.
50 questions que la DGSI pose en garde-à-vue antiterroriste.
La nausée. C’est le seul sentiment possible après le procès qui a eu lieu pendant trois jours au tribunal de Paris. Une nausée qui ne passe pas. Un CRS qui mutile à vie un père de famille avec une grenade lancée illégalement est acquitté par la justice.
Notes du renseignement, directives de la Métropole, interruption du tramway et augmentation des effectifs policiers... à Besançon, difficile de faire plus anxiogène et alarmiste. Pourtant, la guerre civile annoncée par les pouvoirs publics n’a pas eu lieu.
Le site Paris Luttes Info se penche sur la sécurité numérique et les techniques d’investigation de la police
« Pas moins de 7 hélicoptère et plus de 1700 FDO, un dispositif dont le coût est estimé à plus d’un million d’euros. », « une soixantaine de [manifestant·es] blessé·es dont 6 hospitalisé·es », 4 personnes placées en garde à vue", une personne arrêtée sur son lit d’hôpital... retour sur la répression des manifestations anti-bassines.
Cent-cinquante personnes s’étaient retrouvées aux Près-de-Vaux ce week-end, autour de musiques électroniques et alternatives. Une occupation maîtrisée mais illégale de l’espace public, ayant conduit les services de police à intervenir pour stopper la fête.
Depuis le début de l’année au moins 7 personnes sont mortes sous le feu de la police, dans leurs véhicules au motif de « refus d’obtempérer ». Le dernier drame a eu lieu à Vénissieux.
Une personne a été blessée par balle parce que les flics croyaient que c’était un suspect qu’ils recherchaient. Une enquête est ouverte pour « violences volontaires en réunion avec armes contre X ».
Alors qu’on vient de découvrir la responsabilité de l’État français dans le massacre de plus de 300 Algériens à Paris le 17 octobre 1961, celui-ci se révèle être toujours enclin à couvrir les méfaits de ceux qu’il nomme « forces de l’ordre ». La bonne blague.
Pendant la nuit du 23 au 24 juillet, un jeune est mort lors d’une opération policière à Besançon. La version médiatique et policière des évènements est remise en cause par plusieurs témoins.
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