Le 17 janvier, nous remportions une bataille décisive en arrachant l’abandon du projet d’aéroport. Nous avons fait plier l’État, lui a voulu se venger : occupation policière du territoire (toujours en cours), refus buté de toute forme de gestion collective, destruction d’un tiers des cabanes, 270 blessés au moins, 60 interpellations, champs inondés de gaz, 11000 grenades tirées en une semaine...
Malgré ce déferlement de violence, une partie du mouvement a posé un geste d’apaisement en déposant des fiches nominatives en préfecture. Pourtant, le gouvernement n’a pas renoncé aux expulsions. Tous les habitats restent menacés. Le gouvernement ne vise-t-il dans le fond qu’à éradiquer la zad et l’espoir qu’elle soulève ?
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