Sale temps pour les capitalistes : Rabasse.info rejoint le réseau Mutu pour relayer les luttes de Franche-Comté !

Assemblée interluttes #8



La prochaine grande date de mobilisation arrive : c’est le 6 juin !
C’est le moment de s’organiser pour montrer au gouvernement qu’on est toujours déterminés à casser leur réforme.

Chômeu·ses, précaires, travailleu·ses, jeunes, retraité·es… Le gouvernement croit que nous allons laisser notre colère se tasser, donnons-lui tort.
L’Interville du zbeul continue et Dijon ne démérite pas !

Rejoignez l’Assemblée d’interlutte qui réunit différentes organisations politiques, syndicales et associatives pour :

S’organiser localement et identifier les stratégies à établir : blocage, grève, comité de non-accueil, faire grossir les rangs, etc.
Se coordonner avec les autres villes de BFC et soutenir les actions à l’échelle régionale.
Créer un front uni de toutes les organisations contestataires face à un autoritarisme qui ne sent plus pisser.
Montrer notre détermination à ne laisser aucun répit au gouvernement Macron et TOUS ses collaborateurs.

Rendez-vous ce jeudi 1er juin à 18h30 au Rézo’Fêt’Art, 78 Quai Rolin à Dijon

JPEG - 41.2 ko


Proposer un complément d'info

modération a priori

Ce forum est modéré a priori : votre contribution n’apparaîtra qu’après avoir été validée par un administrateur du site.

Qui êtes-vous ?
Se connecter
Votre message

Pour créer des paragraphes, laissez simplement des lignes vides.

Lien hypertexte

(Si votre message se réfère à un article publié sur le Web, ou à une page fournissant plus d’informations, vous pouvez indiquer ci-après le titre de la page et son adresse.)

Ajouter un document

Articles de la même thématique : Contre la réforme des retraites (2023)

Conflit de classes inversé, l’épine dans le pied des luttes sociales

Hiver 2023, mouvement social contre la réforme des retraites. Fonctionnaires, salarié·e·s d’entreprises publiques, étudiant·e·s sont en grève et dans la rue. Caissier·ères, ouvrier·ères du bâtiment, femmes de ménage, livreurs deliveroo et autres salarié·e·s de la « deuxième ligne » sont au taf. Les classes moyennes peuvent-elles faire seules la révolution ?