Dés 10h00 le cortège s’est ainsi élancé de Révolution, galvanisé par une troupe musicale qui a pris la tête de la marche. Trois revendications-phares étaient largement perceptibles : le retrait de la réforme portant sur l’assurance chômage, la prolongation de l’année blanche pour les acteurs du secteur, ainsi qu’un véritable plan de soutien et de relance de la culture. Quelques 500 participants ont ainsi arpenté les rues du vieux-centre, avant de bifurquer place Jean Cornet.
L’Inspection du Travail occupée.
Une flash-mob’ est enclenchée par une vingtaine de participants, trônant sur des coffres de transport, vêtus de masques blancs, brandissant un fumigène ou le poing levé, sur fond d’une banderole exigeant « l’abrogation » du projet et d’un symbole du CIP remplaçant le drapeau tricolore. Le bâtiment annexe de l’Inspection du Travail (DIRECCTE) est ensuite « envahit » et « occupé » pendant une heure, entraînant la paralysie des services encore actifs.
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