Syndicat, parti, autonomie. Comment repenser la question de l’organisation ?
Discussion-débat
Mercredi 11 mai - 18h - Espace autogéré des Tanneries
Suivi d’un repas
STRATÉGIES – Aujourd’hui nous sommes de plus en plus nombreu·ses à nous détourner des syndicats et des partis politiques pour tenter de lutter à travers des collectifs informels. Émancipées de la bureaucratie verticale de certaines structures, ces formes d’organisation autonomes sont régulièrement moteurs d’actions créatives, efficaces et surprenantes. Pourtant nous sommes nombreu·ses aussi à en sentir les limites, et à regretter parfois la portée idéologique des partis traditionnels d’extrême-gauche, tout comme la force de frappe sociale des syndicats de lutte. Le syndicalisme, le parti et l’autonomie ont des histoires parallèles et n’ont eu de cesse de s’allier ou de se combattre en fonction des moments. Qu’en est-t-il aujourd’hui ? Faut-il réinvestir le syndicalisme ? Repenser la forme parti sur de nouvelles bases revendicatives inspirées des pratiques autonomes ? En bref : comment dépasser les limites de chacune de ces formes d’organisation ?
À partir d’extraits de :
L’hypothèse autonome de Julien Allavena,
Domination et sabotage de Toni negri,
Un long chemin. Hypothèse pour une autonomie organisée de Acta.zone.
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