Dans la nuit de vendredi à samedi des croix de Lorraine ont été taguées à la bombe rouge sur plusieurs pans des murs de la mosquée Sounna et de la mosquée Fontaine-Ecu à Besançon. Des grillages (...)
Depuis le 29 septembre 2021, un couple originaire de Bosnie, en procédure de demande d’asile, est à la rue à Besançon avec ses 2 enfants, dont le dernier, encore au sein, a tout juste 1 an.
Que s’est-il passé dans la tête de la direction de L’Est Républicain ? Se protéger de son propre peuple, est-ce nouveau ? Celleux ayant eu la chance de visiter la Cité médiévale de Carcassonne peuvent confirmer que cet énorme édifice ne s’est pas fait en un jour, mais au fil des siècles. La dernière évolution est la plus intéressante, la 3e vague de fortifications à Carcassonne s’est faite à l’intérieur des remparts. La noblesse, le clergé et les commerçants de l’époque se protégeaient de la population qui les entourait, laissant penser à une période qui a connu de nombreuses révoltes paysannes, mais nous ne le saurons jamais complètement…
Rencontre avec Daniel de Roulet autour de « La France atomique »
Librairie l’Autodidacte
5 rue Marulaz
Vendredi 19 novembre à 20h30 .source text-align : center ;font-weight : (...)
Il s’est fait connaître suite à ses entretiens calamiteux en marge de l’affaire Daval, ainsi qu’avec de multiples dérapages annexes en ayant encore dernièrement réfuté le terme « féminicide » et dénoncé une justice qui « penche très franchement en faveur des femmes. » Mais Maître Randall Schwerdorffer, c’est également l’avocat des médias dominants dont l’Est républicain. Engagé par cette filiale du Crédit Mutuel afin d’écraser toutes contestations judiciaires, les cachets financiers se sont dés lors également accompagnés d’une promotion entièrement dévouée au ténor.
L’État français continue ses raids guerriers dans les quartiers post-colonialistes du Nord Franche-Comté. La population majoritairement prolétaire et précaire subit un acharnement de la part de tous les dominants bourgeois et leurs armes diverses et variées. La combinaison est puissante : Justice, gouvernement Macron, Préfectures de 3 départements (25-90-70), politiciens locaux de tous bords, médias dominants locaux et nationaux, fascistes du RN/FN, gendarmerie et police de tout l’Est de la France, CRS, gendarmes mobiles, caméras de surveillance, police municipale, grenades de désencerclement, grenades fumigènes, tasers, gazeuses, tonfas, menottes, équipe cynophile et de nombreux véhicules.
Pour la dix-septième semaine consécutive de protestation contre les mesures et le pass sanitaire, à Besançon les manifestations se suivent et se ressemblent. Mais outre une détermination intacte et un léger regain numérique à noter, c’est surtout une polémique annexe qui va animer les débats sur ce sujet.
Le Rassemblement National (RN) venait d’annoncer la tenue d’un « apéritif-débat », prévu ce dimanche 21 novembre à Besançon. Visiblement téméraire, la formation d’extrême-droite n’avait pas hésité à afficher le site où devait se tenir cette date : la Maison du Peuple. Une donnée qui a immédiatement suscité une levée de boucliers, et des velléités de contre-rassemblement. Car outre des thèses réactionnaires, le parti Lepéniste assume ses positions jugées contraires à l’intérêt des travailleurs. La polémique émergeant, l’UD-CGT du Doubs vient d’indiquer que les organisateurs ont finalement été refoulés des lieux.