Dégradations à la Préfecture : médias de masse et justice de classe
Où l’on parle des vraies conséquences des dégradations sur la préfecture.
Où l’on parle des vraies conséquences des dégradations sur la préfecture.
Le 15 avril 2017, une centaine de Faucheuses et Faucheurs Volontaires d’OGM avait neutralisé, à visage découvert, une plate-forme d’essai de colzas OGM mutés, mise en place à Villy-le-Moutier, près de Beaune, par la firme agrochimique et semencière KWS.
Ce texte reproduit l’intervention orale de Mathieu Rigouste lors du « meeting pour Clément » tenu le 8 septembre 2018 à la Bourse du Travail de Paris, dans le contexte du procès des meurtriers de Clément Méric – militant antifasciste assassiné en 2013 par des skinheads d’extrême-droite.
Le Samedi 16 Mars, des symboles sont partis en fumée ; nous ne sommes pas du genre à pleurer sur le sort du Fouquet’s, son incendie n’étant que mérité tant la violence de classe que colporte ce lieu nous révolte.
Nous relayions il y a quelques jours l’acharnement juridique et policier dont est victime le secrétaire régional de FO et sa famille. Cet acharnement s’est encore manifesté durant la visite de Christophe Castaner à Besançon la semaine dernière.
Le secrétaire générale de Force Ouvrière en Bourgogne-Franche-Comté se fait harceler par la police et la justice, qui s’en sont pris également à son épouse et son fils. FO publie une lettre ouverte au préfet du Doubs.
Lundi soir plus de 150 gilets jaunes se sont rassemblés pour dénoncer les violences policères et l’acharnement judiciaire à leur encontre. Ils demandent l’interdiction de plusieurs armes de la police, et l’amnistie de tous les gilets jaunes interpellés.
La justice a choisi son camp. Nous en prenons acte et appelons à venir lui demander des comptes et exprimer notre solidarité avec les blessé·es et les inculpé·es, lundi 28 janvier à 18h.
Pourquoi les Faucheurs Volontaires disent non au VrTH (Variétés rendues tolérantes aux herbicides) ?
En novembre dernier, des faucheurs volontaires d’OGM passaient en procès au TGI de Dijon, le rendu de ce procès aura lieu jeudi 17 janvier.
Samedi 5 janvier, en marge de la manifestation, Damien a été menotté, plaqué au sol, puis tabassé. Il a ensuite passé 48h en garde à vue alors qu’il avait une côte cassée.
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