Un beau jour, un camarade eu un petit ennui avec une Tesla. Tandis qu’il essayais de se garer tranquille, un léger craquement se fit entendre a l’arrière de son véhicule.
Lorsqu’il regarda dans son rétroviseur, il pu y apercevoir une tesla.
D’abord bien embêté d’avoir légèrement embouti le véhicule ,le frisson de la lutte des classes, du travail bien fait et du rétablissement de la justice sociale viens l’envahir.
Après tout, c’était une tesla. Pas un véhicule, mais un emblème du monde qui court dans n’importe quel sens.
Alors le camarade reparti, avec la sensation du travail bien fait et de l’anonymat. Puisqu’il n’y avais ni témoins de la scène ni camera dans la rue.
Quelques temps plus tard, une convocation arriva. Il faillais aller au commissariat. Il fut alors question de la tesla. Le camarade nia.
Mais, voila, faut vivre avec son temps monsieur : les tesla, en cas de mini choc, gravillons qui rencontre la route de la voiture, ou toute autre chose qui pourrais heurter la sensibilité fragile de ses véhicule et de leur conducteurs, les tesla se mettent a enregistrer.
Notre ami eu donc la surprise de pouvoir se revoir taper la voiture, la constater, et repartir sans remord.
Depuis, plusieurs histoires similaires se sont fait entendre.
A bonne en tendeuse, bonne entendeur. Salutation
Il y a 63 ans, le 17 octobre 1961, la police française massacrait des Algérien·nes en plein Paris
Leïla et Adoflo Kaminsky partagent leur expérience et leur analyse du massacre du 17 octobre 1961, pendant lequel la police française a arrêté 11 000 manifestant·es algérien·nes et en a massacré plus de 200.
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