Ces salariés, oubliés du Ségur de la Santé, sont une trentaine à s’être rendu dans la zone Coriolis pour rencontrer le délégué régional de Nexem, organisation professionnelle des employeurs associatifs du secteur social, médico-social et sanitaire. Ils ont choisi de s’y rendre le 15 mars car leur première convention avait été signée le 15 mars 1966.
Ils veulent revoir et améliorer cette convention collective et demandent 300 euros d’augmentation sur tous les salaires ainsi que la prime Ségur de 183 euros. Leur salaire n’ont pas été réévalués depuis 20 ans, alors qu’ils accompagnent quotidiennement des personnes souffrantes, handicapées ou en rupture.
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