À l’appel de Sud, la FSU, la CGT et Force Ouvrière, une centaine d’enseignant·es se sont rassemblé·es devant le rectorat le 23 septembre.
« La rentrée se fait dans des conditions extrêmement difficiles. Il y a des classes à 30 élèves en maternelle, les écoles élémentaires et les collèges également. Le ministère a redéployé des postes dans certains secteurs du premier degré mais il les a pris sur les collèges et les lycées. En lycée c’est la pagaille parce que le nouveau bac Blanquer a fait éclater les groupes de classes et donc plus personne ne comprend vraiment comment cela fonctionne. [...] Nous avons une crise de vocation, une crise de recrutement et une crise de démission parmi nos jeunes collègues. Le Ministère n’a pas correctement anticipé la rentrée avec cette crise sanitaire. » a déclaré un gréviste à Infos-Dijon [1].
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