À l’appel de la coordination pour la grève féministe et de l’intersyndicale (CGT, Solidaires, FSU), 1500 personnes ont manifesté à Dijon mercredi 8 mars, journée de lutte pour les droits des femmes et minorités de genre, et 8e journée de mobilisation contre la réforme des retraites. Une manif pluvieuse mais joyeuse !
La manifestation a été précédée d’un forum sur la place Wilson.
Le parcours a été redécoré par des collages féministes et des graffitis.
Des rues ont été renommées en hommage à des femmes oubliées de l’histoire officielle.
Après la manif, une présentation sur les femmes dans la résistance en Côte d’Or était organisée par l’IHS CGT à la Bourse du travail, suivie par un repas et la projection du film « Ni les femmes, ni la terre ».
Dans la continuité du débat avec Pauline Delage organisé en février par l’AGGF (Assemblée pour la grève féministe), SUD a organisé ce lundi 8 avril une conférence avec la chercheuse Somayeh Rostampour, venue présenter son travail de thèse sur les mobilisations politiques et armées des femmes kurdes du PKK.
Dijoncter est accueilli sur les ondes de radio campus tous les mardis matins.
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A l’occasion du 8 mars, l’Actu des Oublié.es s’intéresse au mouvement transféministe italien, qui incarne la résistance face au post-fascisme de Meloni.
Appel à mobilisation de Solidaire 21 pour le 1er mai 2024, pour la Côte-d’Or rdv à 10h30 place Wilson à Dijon.
Le ministère a entériné par le décret du 17 mars 2024 le projet conservateur et passéiste du « choc des savoirs ». L’intersyndicale organise des réunions publiques et des temps d’échanges à Dijon, Chalon-sur-Saône et Louhans.
C’est devenu malheureusement une habitude. Priver de liberté une personne pendant 16 heures pour avoir essayé d’exercer l’unique droit qui fait la différence entre un état autoritaire et une démocratie : le droit de manifester. Cela s’est passé à Montbéliard, lors de la venue du premier ministre, Gabriel Attal.
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