« Autodéfense intellectuelle », « esprit critique » et « zététique » sont des termes discutés dans cet entretien. Tantôt utilisés par la presse de droite, tantôt par les institutions étatiques, on peut les retrouver jusque dans les sphères complotistes. Richard Monvoisin, ancien membre du CORTECS, nous en parle au détour d’une discussion axée sur la critique des médias.
Quels sont les pièges ? Les limites ? Les enjeux politico-économiques ? Peut-on douter de tout ? Doit-on le faire ? Et pourquoi ? Avec quelle(s) méthode(s) ?
Aujourd’hui, l’information circule vite, via différentes formes de médias (TV, presse papier, blogs, réseaux sociaux, etc…) et peut paraitre neutre aux yeux et oreilles des moins attentif·ve·s et/ou des moins préparé·e·s, mais pas que.
Si l’adjectif « militant·e » est attribué à certain·e·s journalistes, souvent pour les discréditer, il ne serait pas inintéressant de se méfier davantage de ceux qui se revendiquent « neutres, objectifs et apolitiques ». Gros titres, lignes éditoriales, faits divers traités en allant jusqu’aux publicités qui rapportent, certains indices ne trompent pas quant à une certaine prise de position.
Avoir connaissance des liens d’intérêts et de l’orientation politique des personnes qui transmettent l’information permettrait surement d’offrir une meilleure grille de lecture et d’analyse au plus grand nombre. C’est ce que défend, entre autres, Richard Monvoisin.
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