Nous avions déjà émis l’hypothèse qu’au 221B baker street, Valentin Voinson, le propriétaire, avait trouvé un moyen bien à lui de résoudre les énigmes que lui posait le code du travail.
Aujourd’hui un salarié témoigne preuves à l’appui que les méthodes de Valentin, sont plus que limites.
L’interview est bientôt disponible sur le site du CIDTD.
Pour l’heure les organisations (syndicat Solidaires, CIDTD) ayant décidé d’agir contre les pratiques de Valentin se sont vues qualifiées d’extrémistes par celui-ci, et ont été interdite de manifester par la préfecture de Dijon.
Aujourd’hui nous nous questionnons sur les mesures que va bien pouvoir prendre la préfecture pour faire cesser les pratiques de Valentin, elle en a les moyens et l’obligation.
Le silence du procureur de la république est tout aussi étrange, son rôle quand il prend connaissance de tels faits ne peut pas se limiter à l’inaction complice.
Nous attendons aussi que les habituels professionnel du communiqué (qu’ils soient dans leur locaux campagne ou au troisième étage de la maison des syndicats…) prennent leurs responsabilités d’élu-es ou de syndicalistes, et réagissent aussi vivement et avec des mots aussi forts que quand ils parlent des actions gilets jaunes, d’un feu de porte ou d’une chouette repeinte...
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