
[Besançon] Une association réquisitionne un logement pour les mineurs isolés à la rue
L’association SolMiRé réquisitionne un bâtiment à Besançon pour loger des mineurs isolés sans abris.
L’association SolMiRé réquisitionne un bâtiment à Besançon pour loger des mineurs isolés sans abris.
Parce que l’irresponsabilité de l’Etat n’a jamais été si grande, les féministes en lutte ne peuvent qu’apporter leur soutien et solidarité à l’ouverture d’une maison pour les personnes exilé.e.s depuis le 7 avril. Face à l’incompétence de l’État, la violence de ses institutions, et sa répression policière sexiste, queerphobe et raciste de plus en plus violente et systématique, nous nous organisons. Nous occupons l’espace qu’on nous refuse. Pour se confiner, il faut déjà une maison.
Depuis mercredi 7 avril, une maison a été occupée avec pour objectif d’en faire un lieu d’habitation pour femmes et minorités de genre exilées à Dijon.
Depuis plusieurs jours, Lancine Cissé, un jeune ivoirien apprenti cuisinier, se mobilise avec ses soutiens pour obtenir un titre de séjour et pouvoir rester en France.
Considérés comme majeurs par les centres d’accueil pour mineurs, et comme mineurs pour les centre d’accueil pour majeurs, trois jeunes ont été laissés à la rue en deux semaines sans aucune réponse institutionnelle, cela ne peut plus durer !
Mohamed, lycéen aux Arcades d’origine malienne, est menacé par une OQTF (Obligation de Quitter le Territorie Français). Communiqué de l’UNL Dijon (Union Nationale Lycéenne).
Communiqué national largement signé pour continuer la mobilisation qui s’est faite autour du « boulanger de Besançon » et d’Elvis et poser le problème en terme collectif. Il est le premier étage d’une action dans la durée.
Elvis Bajrami, lycéen au Castel dont la famille était menacée d’expulsion, a annoncé ce mardi après-midi la régularisation de sa mère. La lutte qu’il a mené avec ses soutiens est victorieuse, il pourra continuer d’étudier en France.
Où il question de la galère que c’est d’avoir 18 ans et d’être guinéen en France. Mais aussi de quelques notes d’espoir !
Ibrahima Barry, apprenti boulanger à Dijon est menacé d’expulsion. L’histoire rappelle le cas de Laye Fodé Traore, jeune apprenti boulanger bisontin qui a obtenu sa régularisation gràce à la grève de la faim de son patron.
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