[En images] Marche pour le climat : près de 300 manifestant·es
Dimanche après-midi près de 300 personnes se sont rassemblées pour dénoncer le manque d’ambition de la loi climat votée la semaine dernière par l’assemblée nationale.
Dimanche après-midi près de 300 personnes se sont rassemblées pour dénoncer le manque d’ambition de la loi climat votée la semaine dernière par l’assemblée nationale.
« Nous avons l’impression que tout est mis en place par une extrême minorité pour que l’aberration, l’irrationnel, l’emporte sur le bon sens » déclare le syndicat des entrepreneurs de travaux publics.
De quelle minorité parle-t-on ? Le béton, ce serait ça le « bon sens » ? Les Jardins de l’Engrenage décryptent la situation.
A longueur d’interviews ces dernières semaines, François Rebsamen, Nathalie Koenders et Thomas Ghitti vantent la qualité environnementale et les bienfaits pour le quartier du projet immobilier Garden State, tout en se contredisant et en entretenant le flou sur la véritable destination des espaces et les modalités de prise en compte de l’avis des riverains.
Alors, « À quoi va ressembler Garden State ? » : les Jardins de l’Engrenage décryptent la situation.
Alors que les Jardins de l’Engrenage viennent de vivre une semaine de bataille acharnée contre la destruction des dernières parcelles de terre arable, voici un petit historique de l’année de lutte qui vient de s’y écouler à travers les articles parus sur dijoncter.
Où il est question de la destruction de bonnes terres par des abrutis et de la résistance courageuse des jardinièr·es.
« Le Préfet accuse donc les défenseurs des Jardins de l’Engrenage de violenter les forces de l’ordre, et même d’user des cocktails molotov ! [...] Aucun cocktail molotov n’a été utilisé ni préparé. Aucun policier n’a été blessé, même très légèrement.[...] Le Préfet ment comme il respire.[...] À l’Engrenage, la violence est policière et institutionnelle. »
Samedi 24 avril, près de 500 manifestant·es sont venu·es apporter leur soutien aux Jardins de l’Engrenage, au terme de 4 jours d’affrontements avec les forces de l’ordres. L’après-midi s’est terminé par un moment de convivialité et de jardinage.
Vendredi 23 avril, pour la quatrième matinée consécutive, les policiers intervenaient sur les Jardins de l’Engrenage pour permettre aux machines de continuer leurs destructions.
Réaction à la dévastation des Jardins de l’Engrenage, par l’Atelier d’écologie politique « Penser les transitions » (université de Bourgogne-Franche-Comté).
Ghitti Immobilier et François Rebsamen se cachent derrière la création de jardins familiaux et d’un parc arboré pour expulser l’Engrenage. Un mensonge de plus...