Samedi 21 mai à Besançon, rendez-vous au parc Micaud pour la marche contre les discriminations et violences visant les LGBTQIAP+. Après un pique-nique participatif de 13h, le cortège sera au départ pour le centre-ville à 14h30.
Où il est question de l’histoire du planning familial, de l’ouverture d’une section départementale à Dijon et d’une discussion autour de la santé des femmes aujourd’hui.
À quelques jours de la journée internationale de lutte contre les violences de genre, le Planning Familial 21 a le plaisir d’accueillir deux auteur·ices pour parler de violences médicales, de consentement, de santé et de soins féministes : Martin Winckler et Naïké Desquesnes (collectif Notre Corps, nous-mêmes), lors d’une rencontre-débat sur « La santé des femmes aujourd’hui ».
50 ans après la publication, le 5 avril 1971, du manifeste des 343 femmes déclarant avoir avorté (ou manifeste des 343 salopes, appellation que nous devons à Charlie Hebdo), les combats pour les droits qui permettent la maîtrise de la fécondité sont encore et toujours à défendre. Après 30 à 40 ans d’absence, le Planning Familial se réinstalle en Côte d’Or.
Une manifestation des anti-PMA se profile pour ce samedi 10 octobre à Dijon. Le lieu de rendez-vous n’est pas annoncé, mais nous surveillerons ça de près. Si jamais ils essaient de constituer un cortège ou un rassemblement, nous répondrons présent·e·s.
Après ces derniers mois moroses et le choix politique du confinement qui a contraint les actions militantes,
Parce que la lutte contre les discriminations, les inégalités, pour vivre et nous épanouir dans nos corps, dans nos genres, dans nos vies… est toujours présent,
Parce que combattre ensemble le système cisgenre hétérosexiste et raciste est toujours d’actualité,
Parce que nous avons besoin d’exprimer colère, revendications, solidarité et fiertés,
Plusieurs collectifs TPGBQIA+ et féministes se sont rassemblées autour de l’organisation de ce rassemblement politique annuel.
À travers une analyse des discours et sur fond de crise, nous montrerons comment se construit une masculinité raciste et misogyne allant de la police jusqu’aux incels [1].
Retour en images sur la marche des fiertés du samedi 27 juin, une déambulation revendicative et festive. Des slogans, des pancartes, des chants, des collages, des vélos pimpés, des paillettes, et plusieurs centaines de personnes qui ont pris les rues dijonnaises pour lutter contre le cis-tème hétéro-patriarcal et pour toutes celles et ceux qui ne suivent pas la norme oppressive de cis-thème hétéro.
Revenir sur cette histoire permet de mettre en lumière les tentatives et les erreurs d’une Révolution qui a souvent servi d’exemple aux peuples en lutte.