Régulièrement, diverses formes d’antisémitisme défraient la chronique. Régulièrement, des débats nauséabonds, y compris à gauche, leur emboîtent le pas, fissurant le front de la lutte contre les racismes.
Dans cet épisode de Vulgari’Zer, on vous propose une petite critique de la société de consommation. Les fêtes sont passées, enfin… on peut relâcher la pression ! Cadeaux de Noël, foie gras et petites bulles : nous avons toutes et tous beaucoup consommé pendant les fêtes, avouons-le ! Faut-il s’en vouloir ? Assurément, il est difficile d’être radicalement anticapitaliste durant cette période.
Jeudi 5 novembre, l’atelier de recherche « Penser la/les transitions » de l’université de Bourgogne organise un séminaire en visioconférence à propos des imaginaires de luttes liés à la transition socio-écologique et des récits qui leurs sont associés.
A l’intérieur de la 6e puissance économique mondiale, les précaires, SDF et réfugié.es meurent encore du froid. Rien n’a changé depuis le 19e siècle. La rage nous dévore, mais la priorité est à l’urgence, en priant pour que ce vieux monde pourri brûle pour nous réchauffer. Force à tous.tes celles et ceux dans la lutte en permanence. Continuons à agir et comploter.
Discussion autour du livre La Bande noire, propagande par le fait dans le bassin minier (1878-1885) avec son auteur Yves Meunier. Samedi 7 novembre à 14h au Black Market.
« Mercredi 17 juin nous répondrons à l’appel national à agir contre la réintoxication du monde. Nous souhaitons mettre en avant d’autres manières de vivre la ville, de ne pas nous laisser déposséder de nos quartiers et des quelques espaces de respirations qui subsistent. »
Le collectif Laisse Béton, qui avait appelé à une manifest’action le 29 février à Nantes contre les projets destructeurs, inutiles du grand Ouest, appelle au développement de Zones d’Autonomie Définitives pour libérer des espaces de l’emprise capitaliste. Pour résister aux attaques à venir, il sera nécessaire de coordonner aussi bien les zones à défendre que les épiceries solidaires. En nous reliant, nous pourrons renforcer notre autonomie. Alors prenons le temps de l’organisation, de la construction d’outils pour renforcer nos alternatives radicales de sortie du capitalisme !
Aujourd’hui les féministes convergent avec le mouvement des travailleur-euse-s et chômeur-euse-s qui revendiquent un changement radical de société. Les revendications féministes renouvellent la lutte contre le capitalisme en offrant une perspective plus ample qui implique la vie dans sa totalité et pas seulement le travail salarié. Sortons de la fatalité, imaginons des luttes différentes, sortons des actions et pensées raisonnables. Réinventons un monde !