Nous pouvons affirmer, sans aucun risque, que sa politique xénophobe à l’encontre des migrant.e.s va continuer, que sa volonté de mettre au pas la société va être renforcée en réduisant les aides sociales comme le RSA par exemple, et que sa volonté d’user les corps en passant la retraite à 65 ans n’est qu’un prémisse du pire à venir.
Plus que jamais, les mobilisations sociales, l’occupation des rues, l’appropriation d’espaces divers seront les seuls éléments possibles d’une résistance populaire qui se doit massive.
Les divisions stratégiques (et pas que) de notre « camp commun » ne doivent pas l’emporter. Ces différences là doivent au contraire, être le moteur d’un large mouvement social en pleine recomposition où la diversité des pratiques permettront des avancées pour toutes et tous.
Il est temps d’avancer ensemble, temps de vouloir renverser réellement cet État oppresseur.
La manifestation du 1er mai n’est que la première étape des longs combats que nous allons devoir mener. Il faut montrer immédiatement notre volonté farouche de vouloir inverser le processus en cours.
Pour un 1er mai, anticapitaliste, internationaliste et antifasciste ! Soyons uni.e.s ! Rendez-vous, à 10h30, place Wilson ce dimanche !
Des militant.e.s
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