À 19H, le vendredi 15 juin, à l’Espace Autogéré des Tanneries (37, rue des Ateliers Dijon)
Depuis 2014, son rôle de rempart face aux atrocités djihadistes au Moyen-Orient a placé la gauche kurde sous les feux de la rampe.
Ce que l’on sait moins, c’est que dans les zones qu’elle contrôle, et notamment au Kurdistan syrien (Rojava), elle a favorisé l’essor d’une contre-société sur des bases féministes, sociales, démocratiques et, d’une certaine façon, laïques.
Pour cette raison, elle fait peur aux tyrans de la région : les régimes turc, iranien ou syrien.
Cette situation inédite appelle un soutien de toutes et tous les révolutionnaires et anticolonialistes sincères.
Un soutien acritique ? Nullement car, comme tout processus révolutionnaire, celui-ci court des risques : une dérive autoritaire est toujours possible, de même qu’une instrumentalisation par des puissances étrangères (États-Unis, Russie, France...).
C’est de tout cela que nous voulons parler.
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