Sale temps pour les capitalistes : Rabasse.info rejoint le réseau Mutu pour relayer les luttes de Franche-Comté !

[Saône-et-Loire] La CGT Energies désactive les Linky


Saône-et-Loire

Les grévistes de la CGT Mines-Énergies Saône-et-Loire rendent l’électricité gratuite pour de nombreu.ses usager.es.

Dans le cadre de leur mouvement contre la réforme des retraites, les membres de la CGT Energies Saône-et-Loire indiquent avoir retiré une quarantaine de concentrateurs [1] du réseau. Cette action n’a aucun effet pour les usager·es, mais empêche les relevés de consommation.

Source : Le Journal de Saône-et-Loire



Notes

[1Les concentrateurs permettent de traiter et stocker les informations venues d’une grappe de compteurs électriques linky, dont les informations de consommation.

Proposer un complément d'info

modération a priori

Ce forum est modéré a priori : votre contribution n’apparaîtra qu’après avoir été validée par un administrateur du site.

Qui êtes-vous ?
Se connecter
Votre message

Pour créer des paragraphes, laissez simplement des lignes vides.

Lien hypertexte

(Si votre message se réfère à un article publié sur le Web, ou à une page fournissant plus d’informations, vous pouvez indiquer ci-après le titre de la page et son adresse.)

Ajouter un document

Articles de la même thématique : Syndicalisme

Ouvrier-es agricoles : suspendre le repos hebdomadaire, une affaire courante ?

Communiqué de Solidaire 21 : par décret du 9 juillet dernier, le gouvernement Attal a autorisé la suspension des repos hebdomadaires des salarié·es agricoles par leurs employeurs pour des travaux dont l’« exécution ne peut être différée », comme des récoltes manuelles dans les régions agricoles dotées d’une appellation d’origine contrôlée ou une indication géographique protégée.

Articles de la même thématique : Contre la réforme des retraites (2023)

Conflit de classes inversé, l’épine dans le pied des luttes sociales

Hiver 2023, mouvement social contre la réforme des retraites. Fonctionnaires, salarié·e·s d’entreprises publiques, étudiant·e·s sont en grève et dans la rue. Caissier·ères, ouvrier·ères du bâtiment, femmes de ménage, livreurs deliveroo et autres salarié·e·s de la « deuxième ligne » sont au taf. Les classes moyennes peuvent-elles faire seules la révolution ?