#41 Solidarité avec les personnes exilées
Où il est question de l’ouverture d’un nouveau logement pour les personnes exilées, et de la mobilisation pour lutter contre l’expulsion de Rizart et de sa famille.
Où il est question de l’ouverture d’un nouveau logement pour les personnes exilées, et de la mobilisation pour lutter contre l’expulsion de Rizart et de sa famille.
Suite à la mobilisation du 7 janvier, Rizart, élève en CM2 à l’école de la Colombière, et ses parents, ont obtenu un délai de 15 jours sans risque d’expulsion pour préparer un nouveau dossier de demande de régularisation. De nouvelles mobilisations seront annoncées dans les jours ou semaines à venir.
Rassemblement vendredi 7 janvier à partir de 16h devant l’école de la Colombière 10 avenue Jean Baptiste Greuze à Dijon
L’Association SolMiRé a publié un rapport concernant les irrégularités de la procédure d’évaluation de la minorité mise en place par le Département du Doubs.
L’expulsion de Rizart et de ses parents est confirmée par la préfecture, rassemblons-nous vendredi 3 décembre à 16h à la sortie de l’école de La Colombière pour soutenir Rizart.
La préfecture annonce que leur situation va être réexaminée au vu des éléments transmis récemment pour justifier leur droit au séjour en France. Mais bien entendu la mobilisation continue ! (...)
Appel à soutien des parents d’éléve, rassemblement devant l’école élémentaire de la Colombière 10 avenue JB Greuze à 16h
A Dijon la vie de Rizart et de ses parents, tous deux non-voyants, risque de basculer si la préfecture ne revient pas sur sa décision de les expulser. Présent depuis trois ans en France, le jeune Rizart cherche à mener la vie d’un petit garçon de 10 ans.
Une procédure d’expulsion vise l’association Solmiré, convoquée mardi 27 juillet au Tribunal de Besançon. Les mineurs isolés étrangers qui sont hébergé dans ce logement réquisitionné en avril par l’association risquent de se retrouver de nouveau à la rue. Solmiré appelle à un rassemblement de soutien.
Caractère infondé des accusations de fraude et annulation de l’obligation de quitter le territoire, un premier soulagement permettant ainsi à Sato de reprendre une vie normale auprès de ses proches, ses amis, ses collègues de travail et de formation.