
Plus que des hommages, réclamons justice et vérité
Les mots d’ordre ne peuvent plus être toujours tirés vers le bas.
Mardi 9 juin et les jours d’après réclamons justice.
Les mots d’ordre ne peuvent plus être toujours tirés vers le bas.
Mardi 9 juin et les jours d’après réclamons justice.
Comment se réapproprier la science, la lutte contre l’épidémie, mais aussi nos émotions ? Et que penser de la sortie du confinement ? Nécessaire ou irresponsable ? La gazette vous donne les dernières nouvelles sur l’épandage des pesticides et l’international, tout en invitant à la réflexion collective.
Il n’y a aucun « complot » derrière l’exploitation économique, il n’y a qu’un rapport social fondé sur la propriété privée des moyens de production : celui qui possède les moyens de production n’a pas besoin de se dissimuler, et celui qui travaille, si il veut s’émanciper, n’a pas besoin de savoir si son patron est juif, catholique, de la planète mars ou membre du club d’échec de Bourg-en-Bresse.
“Ce livre n’est pas un livre de théorie politique, mais un livre de pratiques de lutte. Il répond à l’urgence d’apprendre à nous organiser pour faire face à ce qui est déjà là, à créer des solidarités entre personnes subissant différentes oppressions, à articuler nos espaces sans entamer nos autonomies, à nouer d’autres complicités. Ce livre invoque la puissance transformatrice dont les luttes sont parfois capables”.
« Tu comprendras quand tu seras grand.e », « j’ai plus d’expérience de la vie ». Ras le bol de l’âgisme partout, de la domination adulte et de la banalisation de cette oppression.
On a tombé le gilet samedi, et pas seulement parce que l’on n’aime pas la coupe et la couleur.