Réflexion

Face à la pandémie, le camp des luttes doit sortir du déni.

Face au capitalisme du désastre et à ses convergences fascistes et cybernéticiennes, il s’agit de faire exister, dans nos villages et nos quartiers, des formes ouvertes de communauté, mues par l’attention portée à la vulnérabilité. Un communisme du soin.

Médico-social : la parole aux grévistes dijonnaises

La 11 janvier, de nombreu·ses soignant·es des domaines de la santé et du médico-social étaient en grève pour obtenir de meilleures conditions de travail. Quelques manifestantes nous racontent pourquoi elles se sont mises en mouvement. Elles reviennent sur les conditions de travail dans les établissements dijonnais, et particulièrement au CHS de la Chartreuse.

Pourquoi le féminisme doit s’emparer de la grossophobie ?

Texte écrit par Aly Thompson, traduit de l’anglais par Daria Marx, publié le 30 juin 2016 sur le site Gras Politique. Ce texte aborde des situations de violences et de discriminations grossophobes dans le milieu de la santé. Il montre la nécessité de prendre en compte la lutte contre la grossophobie dans la lutte féministe pour le droit à la santé pour toustes.

Réduction des risques en période de Covid

Pratique méconnue, la réduction des risques (RDR) fait partie, entre autres, des pistes de la « stratégie de déconfinement respectueuse des droits et des populations les plus fragiles », élaborée par l’association AIDES, qui lutte depuis de nombreuses années contre le VIH notamment.

« Lutter ensemble, pour de nouvelles complicités politiques »

“Ce livre n’est pas un livre de théorie politique, mais un livre de pratiques de lutte. Il répond à l’urgence d’apprendre à nous organiser pour faire face à ce qui est déjà là, à créer des solidarités entre personnes subissant différentes oppressions, à articuler nos espaces sans entamer nos autonomies, à nouer d’autres complicités. Ce livre invoque la puissance transformatrice dont les luttes sont parfois capables”.

0 | 20