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À 14h, après deux heures de Zone d’occupation féministe sur la place Darcy, toute la foule se réunit pour écouter les premières prises de paroles. Alors que l’appel est sorti assez tard et que plusieurs grosses organisations dijonnaises n’avaient pas appelé à manifester, nous sommes quand même largement aussi nombreu·ses que l’année dernière, et ça donne immédiatement le sourire ! La foule est hétérogène, beaucoup de personnes portent des pancartes, ou ont des slogans écrits sur le visage.

8 mars 2025

8 mars 2025

8 mars 2025
Une nouvelle chorale lance une reprise féministe de « je suis fils de ». Des carnets ont été distribués à la foule pour reprendre tou·es en coeur !

Place Darcy
8 mars 2025
Après quelques slogans de chauffe, on commence à descendre la rue de la lib’. La banderole de tête annonce « Contre les fascistes, grève féministe ». Les percussions marquent le rythme. Beaucoup de passant semblent amusés ou complices de la manifestation, et ça fait du bien de pouvoir crier « siamo tutt* antifascist* » (nous sommes tou·tes antifascistes) à plusieurs centaines !
Arrivés place du Bareuzai, on écoute de nouvelles prises de paroles et la chanson « Jean-Mich » est entonné.

8 mars 2025

8 mars 2025

Place du Bareuzai
8 mars 2025
On reprend ensuite la traversée du centre-ville pour aller jusqu’à la place du théâtre, toujours beaucoup de bruit dans le centre-ville. Quelques tags fleurissent.

Place du Bareuzai
8 mars 2025

Rue de la liberté
8 mars 2025
Devant le théâtre, c’est au tour de Bord’iel et des dévalideuses de prendre la parole. Toutes les prises de parole sont traduite simultanément en langage des signes.

8 mars 2025

8 mars 2025

Place du théâtre
8 mars 2025
La manifestation termine place Wilson, par une prise de parole du collectif 25 novembre et un joyeux « À bas l’État policier » !

8 mars 2025

Place Wilson
8 mars 2025
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