Belfort : L’emmerdeur Macron en campagne électorale.



En 2014, Emmanuel Macron, alors Ministre de l’économie dans un gouvernement socialiste a vendu la branche nucléaire de Alstom au géant américain General Electric.

Maintenant que les parasites américains ont volé tous les brevets (avec la complicité de la Suisse), Macron décide d’offrir ce site stratégique à EDF (en très mauvaise situation financière). Macron, le principal responsable de la situation catastrophique à Belfort vient se poser aujourd’hui en sauveur. Le problème, c’est que personne ne lui fait confiance mis à part les médias dominants et les élus locaux corrompus.

La mafia de Damien Meslot (maire de Belfort) a fait beaucoup parler d’elle semaine dernière en annonçant une perte de 10 millions d’euros pour l’agglo Belfortaine en 5 ans [1], depuis la vente de la branche nucléaire de Alstom à General electric.

Ces élus locaux se prennent aujourd’hui pour des guerriers nationalistes voulant défendre notre territoire face à l’impérialisme américain. Pourtant, il y a seulement 1 an, la mafia de droite belfortaine a ouvert les bras au géant Amazon [2], connu lui aussi pour ses évasions fiscales.

Les Macronistes et Les Républicains, les politiciens dominants et parasites n’ont plus aucune crédibilité lorsqu’ils ouvrent la bouche. Plus personne ne les croit, plus personne ne les écoute, sauf la presse capitaliste locale.

Ce sont ces mêmes politiciens bourgeois qui vantaient les délocalisations et nous parlent aujourd’hui de relocalisation.

Ce sont ces mêmes politiciens bourgeois qui parlaient de mondialisation et nous parlent aujourd’hui de nationalisation.

Actionnaires internationaux ou État français, mondialisation ou nationalisation, ce faux dilemme est intolérable et surtout suicidaire pour notre classe laborieuse.

La seule solution pragmatique et efficace est la réquisition du site et son autogestion par les travailleur.ses.

Ni bourgeois, ni État, Macron ne revient pas !

Loral Aitken, spécialiste des ultra-riches et des violences bourgeoises.



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