Réforme des retraites : actions à Dijon et Saulieu


Morvan

Mercredi 19 et Jeudi 20 avril ont eu lieu deux nouvelles actions à Saulieu et Dijon pour maintenir la pression en attendant la manifestation du 1er mai.

Mercredi 19 avril à 18h30, les casseroles commencent à résonner dans les rues de Saulieu. Une cinquantaine de personnes partent en manifestation et bloquent la rue Courtépée. Une cinquantaine de poids lourds sont immobilisés.

JPEG - 118.8 ko
À Saulieu

Jeudi 20 avril à l’aube, une centaine de personnes se rassemblent sur le parvis de la gare de Dijon, dans le cadre de la journée de la « colère cheminote ». Des tracts, de la brioche et du café sont distribués aux usager.es de la gare, l’objectif : appeler à rejoindre la manifestation du 1er mai.


Proposer un complément d'info

modération a priori

Ce forum est modéré a priori : votre contribution n’apparaîtra qu’après avoir été validée par un administrateur du site.

Qui êtes-vous ?
Se connecter
Votre message

Pour créer des paragraphes, laissez simplement des lignes vides.

Lien hypertexte

(Si votre message se réfère à un article publié sur le Web, ou à une page fournissant plus d’informations, vous pouvez indiquer ci-après le titre de la page et son adresse.)

Ajouter un document

Articles de la même thématique : Syndicalisme

L’intersyndicale de l’éducation appelle à la grève les 10, 11 et 12 décembre !

Parce que les attaques de Macron contre les fonctionnaires ne cesseront pas et continueront avec le prochain gouvernement et suite à la journée réussie du 5 décembre, l’intersyndicale de l’éducation nationale appelle à la grève les 10, 11, 12 décembre 2024, et à plusieurs rassemblements et réunions d’organisation du mouvement.

Articles de la même thématique : Contre la réforme des retraites (2023)

Conflit de classes inversé, l’épine dans le pied des luttes sociales

Hiver 2023, mouvement social contre la réforme des retraites. Fonctionnaires, salarié·e·s d’entreprises publiques, étudiant·e·s sont en grève et dans la rue. Caissier·ères, ouvrier·ères du bâtiment, femmes de ménage, livreurs deliveroo et autres salarié·e·s de la « deuxième ligne » sont au taf. Les classes moyennes peuvent-elles faire seules la révolution ?