
Brochure « Solidarité avec Ivan ! Liberté pour toutes et tous ! »
Brochure sous-titrée « Répression et incendies de véhicules » produite en solidarité avec un compagnon anarchiste récemment incarcéré à Villepinte, accusé d’incendies de véhicules.
Brochure sous-titrée « Répression et incendies de véhicules » produite en solidarité avec un compagnon anarchiste récemment incarcéré à Villepinte, accusé d’incendies de véhicules.
Donner une identité fictive ou imaginaire en garde à vue devient de plus en plus risqué. Les flics peuvent savoir très vite qu’elle est fictive et ont désormais le pouvoir de vous contraindre, par la force, à prendre vos empreintes digitales et de vous tirer le portrait. Conseils à méditer collectivement !
Retranscription d’une conférence de Sarah Vanuxem dans le cadre du séminaire « Fragmenter l’urbain » qui s’est tenu en avril 2019 aux Tanneries. Elle revient sur les possibilités d’aller chercher dans le droit des manières de redéfinir juridiquement la propriété de la terre.
La surveillance de nos rues est devenue totale : vidéosurveillance généralisée, fichage de masse, reconnaissance faciale et détection automatisée de comportements. Pour mettre un coup d’arrêt à cela, nous lançons une plainte collective contre le ministère de l’intérieur.
Le 26 avril 2022, le Conseil d’État a rejeté nos critiques contre l’utilisation massive de la reconnaissance faciale par la police dans le TAJ (« traitement des antécédents judiciaires »).
On vous partage ce témoignage reçu par email. Une lecture instructive, libératrice, représentative de la répression subie par bien des militant·es.
Avec tout notre soutien !
Appel à financement d’un projet de livre sur les techniques utilisées par la police pour mener des interrogatoires.
La promesse de lutter contre la criminalité et de servir toute la population sans distinction est un mythe. Alors (...)
Quelques mois après l’incarcération de Boris - accusé d’avoir incendié des antennes-relais - au moins deux personnes ont été approchées par les flics.
Trois critiques s’attaquent à « Bac Nord », le film de propagande policière sorti il y a quelques semaines.
Le 20 juillet 2021, le gouvernement a déposé une nouvelle loi sécuritaire qui, entre autres choses, autorisera les drones policiers. Ces mêmes drones qui, par la force de nos efforts collectifs, avaient été rejetés à quatre reprises l’an dernier. Le gouvernement s’empresse de saper nos si précieuses victoires obtenues contre sa surveillance policière.
Le 6 septembre 1880 naissait Jules Durand, anarchiste et syndicaliste condamné à la peine de mort en 1910 suite à la grève des charbonniers. À écouter également sur RadioLutte, les éphémérides de chacun des autres jours du mois. Corrections et participations ouvertes et attendues sur TheChangeBook !
Les critiques du passe sanitaire dénoncent unanimement un « danger autoritaire ». Assez justement, la CNIL elle-même présente ce danger comme « le risque d’accoutumance et de banalisation de tels dispositifs attentatoires à la vie privée et de glissement, à l’avenir, et potentiellement pour d’autres considérations, vers une société où de tels contrôles deviendraient la norme et non l’exception ». Prenons un instant pour détailler ce danger et répondre à la question : de quel type de surveillance le passe sanitaire est-il l’expression ?
Pourquoi l’État a-t-il fait le choix à différents moments historiques de surveiller et punir l’homosexualité ?
Disponible sur infokiosques.net, cette petite brochure montre qu’un peu partout dans le monde, des gens s’organisent pour tenter de se débarrasser de la vidéosurveillance.
De quel ordre social la policiarisation des minorités sexuelles et de genre procède-t-elle ?
Lundi 17 mai soutien au camarade qui se retrouve au tribunal à cause des pookies
Il semble même difficile de définir ce qui s’est passé hier comme une vengeance d’État, cela semblerait presque ennoblir les choix pris par pure convenance politique des deux côtés des Alpes.
La loi sécurité globale a été définitivement adoptée jeudi 15 avril par l’Assemblée nationale, à 75 voix contre 33, au terme d’un débat soumis aux exigences de la police et dont nous n’attendions plus grand chose. La prochaine étape sera l’examen de la loi par le Conseil constitutionnel.
Des intellectuels et des artistes, dont Françoise Vergès, Isabelle Stengers, Paul B. Preciado et plusieurs collectifs féministes s’allient pour affirmer « leur peur et leur colère face à la course sécuritaire menée par le gouvernement », et réclamer la libération des militants arrêtés le 8 décembre 2020.